Le 24 octobre 2019, la France est le premier pays de l’UE à appliquer une directive européenne sur le « droit voisin ». En clair la presse devait recevoir une rémunération pour les contenus qu’elle produit et qui sont diffusés sur Google, Facebook et autres. À ceci près que Google a envoyé paître éditeurs et politiques français. Plus de 900 journalistes et éditeurs ont signé une pétition de protestation. Se gardant bien de dire que d’un autre côté ils quémandent l’aide de Google qui les subventionne en toute opacité. Contre Google en effet, vraiment tout contre.
Google, son quasi-monopole et la suprématie quantique
Google alias Gogol (rien à voir avec l’écrivain russe), alias l’ogre, alias la pieuvre, non content de réguler les médias, veut développer dans l’avenir des super calculateurs, lui assurant une supériorité technologique durable.
Google refuse de payer les droits voisins aux médias français
La directive européenne sur le droit d’auteur avait été votée fin mars 2019. La France a été le premier pays à transposer le texte en droit français fin juillet. La loi implique que les reprises par Google ou les extraits (en anglais snippets) d’articles originaux donnent droit à des accords de licences à négocier par chacune des parties. Qui dit accords de licences dit royalties à payer par Google. À ceci près que Google a refusé formellement tout accord le 25 septembre.
Facebook Horizon, virtualité et police de la pensée
Vous avez appris qu’une « grande coalition » réunissant les armadas américaines du digital (Facebook, Google, Microsoft, Twitter, LinkedIn, WhatsApp) s’était formée pour censurer plus efficacement et en groupe sur la toile. Vous êtes censuré par Facebook ? Rassurez-vous, vous allez pouvoir profiter d’une seconde vie virtuelle sur le nouveau service lancé par le réseau social. Ça s’appelle Horizon et la visite vaut le détour.
Quand la BBC se rêve chef de file de la lutte contre la désinformation
Après l’International Fact-Checking Network (IFCN), l’Initiative pour la fiabilité de l’information lancée par RSF, et bien d’autres, la très politiquement correcte BBC, adepte du trucage, vient de lancer son initiative internationale de “lutte contre la désinformation dangereuse”.
Censures en série sur les réseaux sociaux
Pendant une dizaine d’années, les réseaux sociaux ont joué le rôle de contre-poids aux médias de grand chemin et nombre de médias alternatifs se sont développés. Les médias dominants ont réagi en développant leurs versions digitales et en développant une campagne « anti fakenews », véritable rideau de fumée pour camoufler leurs insuffisances et surtout avant-garde des nouvelles censures. Tous les réseaux sociaux sont maintenant affectés et ce n’est qu’un début.
La Croix et Radio France meilleurs médias pour CB News
Asinus asinum fricat. Le grand prix des Médias de CB News, agence spécialisée qui couvre justement l’information médiatique, ressemble à un autosatisfecit du système, à l’heure où de moins en moins de lecteurs ont confiance dans la presse mainstream. Les Gilets jaunes n’ont fait qu’accélérer le mouvement, et pour garder la main, le système est obligé de recourir à une censure basse du front, mais 2.0 : effacement des audiences des pages d’extrême-gauche sur Facebook, nettoyage à la hache de Google News aux dépens de la réinformation régionale, censures du quotidien Présent par Facebook, censure de Google pour Breizh Info, censure puis rétablissement d’un article de l’Ojim par Facebook etc.
Les Gafa préparent les élections présidentielles américaines de 2020
Les informations commencent juste à filtrer sur la manière dont les géants du numérique, autrement dit la quinzaine d’acteurs majeurs du web, préparent les élections présidentielles de 2020 aux Etats-Unis. Acteurs devenus incontournables des médias modernes, souvent plus importants que nombre de médias traditionnels, qu’ont-ils décidé ?
Quand Google espionne même les enfants
Les enfants, les gentils petits enfants, les têtes blondes ou brunes, leurs boucles folles ou sages. Leur innocence. Leur pouvoir d’achat et de prescription aussi. Google aimait les enfants au point de collecter leurs données pour les cibler ensuite par la publicité.
Projet de loi américain contre les GAFA
Alors que Facebook veut à la fois lancer une monnaie et un tribunal international établissant une vérité universelle, certains législateurs américains veulent limiter le pouvoir des GAFA et leur imposer un début de transparence quant à la valeur économique des données individuelles collectées.
Invitation au fact checking de Google
Les gouvernements de l’Union Européenne ayant une évidente vocation à soutenir la liberté d’expression le lui ont demandé, il l’a fait. Qui ? Google. Quoi ? Aider à traquer « les infox ». Évidemment, dans un tel cadre, il y a infox et infox, site douteux et site douteux…
Facebook sera-t-il démantelé ?
Alors que les scandales se multiplient autour de lui, informations privées rendues publiques ou revendues, accusations d’espionnage, non-respect systématique de la vie privée, affaire Cambridge Analytica, amendes et menaces d’amendes, etc, le réseau social accumule les bénéfices trimestriels autour de cinq milliards de dollars. Trop gros pour tomber disent certains, trop gros pour ne pas devoir être démantelé disent d’autres.











