George Soros et l’Open Society en Roumanie. Seconde partie
Le cas roumain illustre la manière dont une foule savamment manipulée peut servir le crédo sorossien.
Contrairement aux brèves qui traitent de l’actualité immédiate, les dossiers prennent du recul, sont plus longs, demandent plus de temps. Notre dossier sur les investissements américains dans les médias des Balkans via le fonds KKR et le général Petraeus (ex directeur général de la CIA) a demandé plus de six mois d’enquêtes et a été traduit en 9 langues.
Le cas roumain illustre la manière dont une foule savamment manipulée peut servir le crédo sorossien.
En 1991, la dissolution de l'Union soviétique ouvrait, pour beaucoup d'acteurs de la scène géopolitique, de nouvelles perspectives. Un moment de grâce pour George Soros.
Après avoir présenté les partenaires en Pologne, Hongrie et Espagne nous passons à ceux de l’Italie, de la Grèce et de la Belgique, de la même eau que les premiers.
Après une présentation générale, voici la deuxième partie de notre enquête, sur les partenariats en Pologne, Hongrie et Espagne, tous partisans.
Tout juste trentenaire, Arte lance une émission d’actualité hebdomadaire proposée dans d’autres langues que le français et l’allemand, une initiative saluée notamment par Le Monde et impliquant des médias partenaires aux affiliations politiques avérées.
En août 2022, AI a publié un rapport accusant les forces armées ukrainiennes de mettre en danger des populations civiles dans leur tactique de défense. Retour sur une affaire pour le moins surprenante au vu des affiliations géostratégiques de cette ONG.
Comment cette ONG dispose-t-elle d’autant de moyens lui permettant d’être la crème mondiale du combat pour les droits de l’homme ? La troisième partie de notre enquête.
En Hongrie, cette ONG est très active aux cotés de l’ambassade des États-Unis à Budapest contre le gouvernement de Viktor Orbán. En toute indépendance et au nom de la Démocratie. Suite.
Amnesty International (AI), c’est ce mastodonte au budget annuel de plus 300 millions d’euros distribuant les bons et les mauvais points sur la scène internationale en matière de droits de l’homme et gardant les totems de la bien-pensance.
Éclairage sur l’ICFJ, un bras incontournable de la force de frappe médiatique US au plan mondial. Seconde partie.
L’International Center for Journalists, basé à Washington, a été fondé en 1984, tout un symbole ! Il se veut bien évidemment libre et indépendant, à la manière de ces innombrables organisations nord-américaines chargées de faire la pluie et le beau temps sur le terrain des idées et des relations internationales. Première partie.
Il y a le journalisme de paresse (qui recopie l’AFP), le journalisme de complaisance (qui renvoie l’ascenseur), le journalisme de censure (qui surveille le politiquement incorrect), il y a maintenant le journalisme des services de renseignement, sujet de notre dernière brochure numérique dont nous vous livrons les bonnes feuilles.