Ojim.fr
Veille médias
Dossiers
Portraits
Infographies
Vidéos
Faire un don
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
La transition numérique réussie de The Economist

L’article que vous allez lire est gratuit. Mais il a un coût. Un article revient à 50 €, un portrait à 100 €, un dossier à 400 €. Notre indépendance repose sur vos dons. Après déduction fiscale un don de 100 € revient à 34 €. Merci de votre soutien, sans lui nous disparaîtrions.

26 août 2016

Temps de lecture : 2 minutes
Accueil | Veille médias | La transition numérique réussie de The Economist

La transition numérique réussie de The Economist

Temps de lecture : 2 minutes

Après un partenariat noué avec l’ABC (Audit Bureau of Circulation), l’hebdomadaire britannique The Economist a pu fournir une liste détaillée de ses statistiques numériques afin de donner une idée plus précise de son audience digitale.

Ain­si, The Econ­o­mist peut aujour­d’hui revendi­quer fière­ment une aug­men­ta­tion de 15 % de ses abon­nements numériques à tra­vers le monde. Aus­si, les ventes dig­i­tales ont pro­gressé de 7,9 % par rap­port à l’an­née précé­dence. Le papi­er, qui n’est pas en reste, a pro­gressé de 2,1 % au Roy­aume-Uni alors même que le tirage a (volon­taire­ment) été réduit de 100 000 exem­plaires à l’échelle mondiale.

En tout, la dif­fu­sion numérique et papi­er s’élève à 1 459 929 exem­plaires dans le monde, dont 325 101 exem­plaires pour le numérique. Sur les réseaux soci­aux, The Econ­o­mist rassem­ble 39 mil­lions d’« abon­nés » à ses dif­férents comptes.

« La crois­sance de 15 % des abon­nements numériques payants nous a per­mis de dimin­uer le tirage de 100 000 exem­plaires imprimés à l’échelle mon­di­ale. Aujourd’hui, chaque exem­plaire de The Econ­o­mist est rentable, ce qui garan­tit que notre indépen­dance édi­to­ri­ale est préservée pour l’avenir. Nous en sommes à la troisième année de notre pro­jet sur cinq ans de dou­bler la rentabil­ité de nos activ­ités de dif­fu­sion. Grâce aux béné­fices liés à la dif­fu­sion qui ont enreg­istré un rythme record de crois­sance de 31 %, nous sommes sur la bonne voie pour attein­dre notre objec­tif », s’est réjoui Michael Brunt, directeur général de la dif­fu­sion du mag­a­zine britannique.

Et ce dernier de con­clure en soulig­nant que « cette crois­sance impres­sion­nante des abon­nements payants prou­ve que la demande pour un jour­nal­isme de qual­ité est à la hausse dans un monde assom­bri par du con­tenu gra­tu­it de qual­ité médiocre. The Econ­o­mist est à l’avant-garde de cette ten­dance grâce à la créa­tion et la dif­fu­sion con­stantes d’idées et d’analyses de con­fi­ance à vers un pub­lic curieux à tra­vers le monde. »