Ojim.fr
Veille médias
Dossiers
Portraits
Infographies
Vidéos
Faire un don
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
Pour le CSA, Cécile Duflot n’a pas été victime de sexisme sur Europe 1

L’article que vous allez lire est gratuit. Mais il a un coût. Un article revient à 50 €, un portrait à 100 €, un dossier à 400 €. Notre indépendance repose sur vos dons. Après déduction fiscale un don de 100 € revient à 34 €. Merci de votre soutien, sans lui nous disparaîtrions.

1 juillet 2015

Temps de lecture : 2 minutes
Accueil | Veille médias | Pour le CSA, Cécile Duflot n’a pas été victime de sexisme sur Europe 1

Pour le CSA, Cécile Duflot n’a pas été victime de sexisme sur Europe 1

Temps de lecture : 2 minutes

Fin de non recevoir pour Europe Écologie-Les Verts, qui avait saisi le CSA en mars dernier après le passage de Cécile Duflot sur Europe 1.

À l’époque, le par­ti écol­o­giste avait estimé que, face à Jean-Pierre Elk­a­b­bach et ses deux chroniqueurs mas­culins, sa prési­dente avait été vic­time de mépris (ce qui n’est pas encore con­damnable) et de sex­isme (ce qui l’est). Le porte-parole du par­ti avait même relevé le nom­bre de fois où l’an­ci­enne min­istre avait été coupée.

Dans un com­mu­niqué, le Con­seil explique pour­tant n’avoir « relevé aucun man­que­ment man­i­feste aux règles en vigueur, notam­ment celles con­cer­nant le respect des droits des femmes », esti­mant que « la com­po­si­tion des ani­ma­teurs d’une émis­sion relève en principe de la lib­erté édi­to­ri­ale du diffuseur ».

« S’agissant du manque allégué d’impartialité des jour­nal­istes, le Con­seil a con­staté que l’échange entre Mme Duflot et les jour­nal­istes était vif – ce que l’invitée a pu soulign­er pen­dant l’émission – mais sans volon­té car­ac­térisée de dén­i­gre­ment », ont pour­suivi les Sages.

Pour finir, con­cer­nant les inter­rup­tions jugées abu­sives, « si elles ont été effec­tive­ment nom­breuses, le Con­seil a relevé que Mme Duflot avait néan­moins pu s’exprimer pour dévelop­per ses argu­ments ». Affaire close.

Voir notre portrait de Jean-Pierre Elkabbach