Ojim.fr
Veille médias
Dossiers
Portraits
Infographies
Vidéos
Faire un don
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
Les Messageries Lyonnaises de Presse (MLP) renforcées et en tension après la disparition de Presstalis

L’article que vous allez lire est gratuit. Mais il a un coût. Un article revient à 50 €, un portrait à 100 €, un dossier à 400 €. Notre indépendance repose sur vos dons. Après déduction fiscale un don de 100 € revient à 34 €. Merci de votre soutien, sans lui nous disparaîtrions.

31 octobre 2020

Temps de lecture : < 1 minute
Accueil | Veille médias | Les Messageries Lyonnaises de Presse (MLP) renforcées et en tension après la disparition de Presstalis

Les Messageries Lyonnaises de Presse (MLP) renforcées et en tension après la disparition de Presstalis

Temps de lecture : < 1 minute

La disparition de Presstalis a permis aux MLP de devenir le numéro 1 de la distribution de la presse écrite en France. Un défi pour cette grosse PME menée au succès par son président José Ferreira, omniprésent dans l’entreprise.

De 25% de part de marché à plus de 65%

La ges­tion calami­teuse de Presstal­is, gan­grené par un man­age­ment inter­mit­tent et com­plaisant d’une part, et par la coupe réglée de la CGT vivant sur la bête d’autre part, a prof­ité aux MLP qui raflent main­tenant les deux-tiers de la dis­tri­b­u­tion papi­er en France con­tre un petit quart aupar­a­vant. La mes­sagerie a ain­si récupéré près de 7000 points de ventes en France.

Avec des tensions

Les effec­tifs de 400 per­son­nes sont restés plus ou moins sta­bles sur la péri­ode, entraî­nant des goulots d’étranglement. Une grève a ain­si affec­té l’entreprise début octo­bre 2020, un mou­ve­ment social con­traire aux usages de la société. Après le départ du directeur général en sep­tem­bre 2019, José Fer­reira est seul aux com­man­des. Une sit­u­a­tion qui pour­ra dif­fi­cile­ment per­dur­er tant face à l’accroissement des tâch­es que par l’arrivée de nou­veaux groupes de titres qui voudront avoir leur mot à dire.