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France Télévisions : les candidats à la présidence rentrent en piste

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16 juin 2020

Temps de lecture : 2 minutes
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France Télévisions : les candidats à la présidence rentrent en piste

Temps de lecture : 2 minutes

Le virus, un climat politique incertain, ont eu raison du grand service des médias publics à la française style BBC qui devait naître en 2023. Le poste de président de France Télévisions en devient plus attractif.

De deux ans, le mandat passe à cinq ans

Ini­tiale­ment le nou­veau prési­dent (à par­tir de juil­let 2020) devait être désigné par le CSA pour deux ans en atten­dant la créa­tion de la hold­ing regroupant France Télévi­sions, Radio France, France Médias Monde et l’INA. Le prési­dent de la nou­velle hold­ing aurait alors choisi les dirigeants des qua­tre entités. Ce pro­jet est remis sine die.

Alors que le prési­dent devait exercer un petit man­dat de deux ans, ce change­ment induit un allonge­ment de man­dat : cinq ans, éventuelle­ment renou­ve­lable. De quoi aigu­is­er des appétits.

Du monde sur la ligne de départ

L’actuelle prési­dente Del­phine Ernotte, celle qui déteste les hommes blancs de plus de 50 ans, est can­di­date à sa pro­pre suc­ces­sion. Le patron du syn­di­cat des jour­nal­istes (SNJ) de la mai­son est offi­cielle­ment sur les rangs comme (offi­cieuse­ment) l’ancien directeur de RTL, Christo­pher Baldel­li. Un cer­tain Mon­sieur Pom­mi­er, con­seiller numérique du groupe LREM à l’Assemblée Nationale a man­i­festé son intérêt mais le con­texte poli­tique lui est peu favor­able. D’autres can­di­dats vont se man­i­fester pour un poste pres­tigieux mais exposé. Le nou­veau prési­dent du CSA, Roch-Olivi­er Maistre, un jup­péiste à l’échine très sou­ple, devra faire preuve de diplo­matie dans son choix.