La probable nomination de Laurent Joffrin à la direction de la rédaction du quotidien Libération, est considérée pour nombre d’observateurs extérieurs comme une erreur de l’actionnaire de référence, Bruno Ledoux. Joffrin est l’un des représentants les plus visibles du parisianisme germanopratin, rejeté avec force par les électeurs, y compris à gauche, dimanche 24 mai. Il n’aurait donc guère le profil pour remonter les ventes de Libération, en baisse de 15% en 2013.
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