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Pierre Plottu

25 octobre 2025

Temps de lecture : 12 minutes
Accueil | Portraits | Pierre Plottu
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Pierre Plottu

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Les yeux grands fermés (et larmoyants)

Ce jeune journaliste, spécialiste autoproclamé de l’extrême-droite, a l’attirail du parfait militant. Victime collatérale du virage éditorial de France-Soir, dont il fut viré sans ménagement, il prophétise dans Libération et Slate, telle une Cassandre antifasciste, la menace fantôme du terrorisme d’extrême-droite. En juin 2022, il prend prétexte d’une vidéo humoristique de Papacito pour se poser en éternelle victime et porte plainte contre le blogueur. À l’automne 2025, il est mis en examen pour diffamation avec Maxime Macé, tous deux de Libération, après la diffusion d’une fake news sur un candidat RN en 2024.

Portrait vidéo

Formation

De 2011 à 2013, il suit une licence de jour­nal­isme en alter­nance partagée entre l’Institut Inter­na­tion­al de Com­mu­ni­ca­tion de Paris (IICP) une petite école privée, et l’entreprise Immo­bil­ière 3F, où il est chargé de la com­mu­ni­ca­tion externe. Sa for­ma­tion com­prend des enseigne­ments relat­ifs au jour­nal­isme de presse écrite et dig­i­tale, com­plétée par des notions de jour­nal­isme audiovisuel.

Parcours professionnel

De 2008 à 2011, il est con­seiller clien­tèle chez Soges­sur, une com­pag­nie d’assurance fil­iale de la Société Générale. De 2012 à 2013, il effectue son stage de fin d’études à la gazette locale de Mantes-la-Jolie « Cour­ri­er de Mantes », l’hebdomadaire de sa ville natale. Il pro­duit à cette péri­ode des inter­views et des por­traits de per­son­nal­ités liées à la vie locale de Mantes.

À par­tir de juin 2013, il devient ensuite jour­nal­iste en CDI chez France-Soir où il réalise des enquêtes et rédi­ge des dossiers ain­si que des por­traits. Jour­nal­iste mul­ti­tâche, il doit rédi­ger des arti­cles sur des thèmes très divers en l’absence d’une ligne édi­to­ri­ale forte : les faits divers voisi­nent avec les alertes canicules et les con­seils santé.

Il devient chef de ser­vice à par­tir de mars 2016 et se spé­cialise pro­gres­sive­ment dans le jour­nal­isme poli­tique, avec un tro­pisme pour l’extrême-droite au sens large. C’est à cette péri­ode que Xavier Azal­bert, écon­o­miste de for­ma­tion et entre­pre­neur à suc­cès, reprend le con­trôle du jour­nal et devient directeur de publication.

Des dis­sen­sions ne tar­dent pas à sur­venir entre la rédac­tion et Azal­bert, en dépit de la rentabil­ité du titre. Cette mésen­tente cul­min­era par une grève des qua­tre jour­nal­istes salariés en août 2019, dont Plot­tu et Macé, qui exi­gent une con­ven­tion col­lec­tive, l’égalité salar­i­ale et un recen­trage sur un jour­nal­isme cri­tique plutôt que pro­mo­tion­nel. L’ensemble de la pro­fes­sion s’émeut de ce con­flit et prend par­ti pour les grévistes. France Info offre une tri­bune à Plot­tu, deux semaines après le début de la grève. La direc­tion ne cède pas un pouce de ter­rain et licen­cie l’intégralité de la rédac­tion, après une réten­tion par­tielle des salaires, le 19 octo­bre 2019, pour motif économique. Au vu de l’orientation volon­tiers droitière et pop­uliste du site depuis la purge de 2019, il est aisé de devin­er l’ampleur des diver­gences idéologiques entre les protagonistes.

« Jour­nal­iste indépen­dant » à par­tir de novem­bre 2019, il devient un con­tribu­teur réguli­er de Libéra­tion à par­tir de jan­vi­er 2020.

À compter de cette date, il se con­sacre entière­ment à la car­togra­phie des mou­ve­ments dits d’extrême-droite et à leur dan­gerosité du point de vue de la sécu­rité intérieure et extérieure. Toutes les thé­ma­tiques rel­a­tives à la com­mu­nau­tari­sa­tion sont passées en revue, de l’arme­ment légal à l’exode urbain. La stratégie du binôme Plot­tu-Macé sem­ble être de met­tre en exer­gue un pen­dant à l’extrémisme islamiste, en l’espèce un supré­macisme blanc, quitte à exagér­er son influ­ence, réal­isant la clas­sique symétrie des fauss­es fenêtres. A France Info, les deux hommes s’étaient déjà fait une spé­cial­ité de mon­ter en épin­gle des faits anec­do­tiques.

Son zèle mil­i­tant est tel qu’il com­pro­met par­fois la sécu­rité des envoyés spé­ci­aux mis­sion­nés par son employeur. Ain­si, lorsqu’il fait savoir que Marc de Cac­quer­ay, ancien gudard, s’est porté volon­taire aux côtés des Arméniens dans le con­flit du Haut-Karabagh, il pré­cise que « la propo­si­tion faite d’aller se bat­tre en Azer­baïd­jan s’in­scrit dans une longue tra­di­tion à l’ex­trême droite rad­i­cale ». L’article sera retiré quelques mois à la demande de l’envoyée spé­ciale de Libéra­tion en Arménie, puis remis en ligne. Cette demande fai­sait suite aux men­aces de mort adressées par des mem­bres revendiqués de l’Ar­mée secrète arméni­enne pour la libéra­tion de l’Ar­ménie (Asala) envers le quotidien.

Pour quelques mois, le temps des cam­pagnes élec­torales à compter de début févri­er 2022, il est le prin­ci­pal con­tribu­teur de l’observatoire de l’influence des rad­i­cal­ités en ligne (IRL) du journal.

Le 21 juin 2022 le blogueur Papac­i­to pub­lie une vidéo humoris­tique où il se « pro­pose d’aller voir ce jour­nal­iste pour avoir une dis­cus­sion avec lui » et ajoute « rien de vio­lent, je veux juste dis­cuter avec lui ». Pierre Plot­tu en prof­ite pour adopter la pose vic­ti­maire pro­pre à son milieu. Sa pos­ture sera ample­ment reprise par les médias de grand chemin dont L’Instant M de France Inter le 22 juin dans un entre­tien empreint de grande complicité.

À l’automne 2025, après avoir qual­i­fié à tort d’antisémite Joseph Mar­tin, can­di­dat RN en 2024 dans le Mor­bi­han, deux jour­nal­istes de Libéra­tion (Maxime Macé, Pierre Plot­tu) sont mis en exa­m­en, ain­si que leur directeur de pub­li­ca­tion et la Ligue des droits de l’homme (LDH) ; cette mise en exa­m­en fait suite à une plainte pour diffama­tion. Fdes­ouche avait levé le lièvre et le RN, qui avait d’abord lâché son can­di­dat, l’avait finale­ment réhabilité.

Le 22 octo­bre 2025, alors que ses deux porte-plume ont été mis en exa­m­en, le jour­nal ultra­sub­ven­tion­né n’avait tou­jours pas retiré ou mod­i­fié son arti­cle au titre très mil­i­tant : « Anti­sémitisme : le RN retire son sou­tien à l’un de ses can­di­dats après un tweet déter­ré par “Libé” ».

Le pro­fil très mil­i­tant des deux jour­nal­istes est con­nu de tous, Maxime Macé étant même passé par le site d’extrême gauche Street Press spé­cial­isé dans la déla­tion et le fichage… À l’inverse des réflex­es de meute, la jurispru­dence pro­tège la cri­tique de bonne foi si elle s’appuie sur une base factuelle sérieuse.

C’est pré­cisé­ment ce qui sera dis­cuté devant le juge. Sur le plan poli­tique, le RN est accusé par cer­tains d’avoir fauté par pré­cip­i­ta­tion en lâchant trop vite son can­di­dat, avant de cor­riger le tir.

Le coût, lui, reste pour la vic­time ini­tiale, som­mée de prou­ver son inno­cence et surtout de vivre avec des arti­cles à charge et très peu de mod­i­fi­ca­tions ou alors très timides.

Parcours militant

Le jour­nal­iste fig­u­rait, aux côtés de son père, sur la liste du can­di­dat du Par­ti Social­iste lors des élec­tions munic­i­pales de 2014 à Mantes-la-Jolie. En 2006, le père, Jean-Paul Plot­tu, fai­sait par­tie du comité de sou­tien des Yve­lines en faveur de la can­di­da­ture de Ségolène Royal.

Son engage­ment local remonte à plus loin, car il con­fesse dans un tweet avoir fait du sou­tien sco­laire via une asso­ci­a­tion catholique pour aider des « jeunes » de la cité du Val Four­ré, un quarti­er pri­or­i­taire et très islamisé de Mantes.

Sa nébuleuse

Maxime Macé : son com­plice de plume, écrivent la plu­part de leurs arti­cles à qua­tre mains. Diplômé de l’ESJ Paris, Macé se lie d’amitié avec Plot­tu à France-Soir.

Nico­las Lebourg : Doc­teur en his­toire et auteur d’une thèse inti­t­ulée « Les Nation­al­ismes-révo­lu­tion­naires en mou­ve­ments : idéolo­gies, pro­pa­gan­des et influ­ences (France ; 1962–2002) ». Ancien mil­i­tant à Ras l’Front, il est la cau­tion pseu­do académique du duo Plot­tu-Macé, qui relaie ses opin­ions, sou­vent peu nuancées, sur l’état des droites-extrêmes en France et dans le monde.

Rudy Reich­stadt : Les deux hommes se retwee­t­ent volon­tiers mutuelle­ment et Reich­stadt est sou­vent sol­lic­ité par le jour­nal­iste pour son éclairage anticomplotiste.

Ils ont dit

« En réal­ité, on voit que, quand on ne s’inscrit pas dans des cas de “com­plo­tisme anti­sémite”, ces accu­sa­tions relèvent sou­vent du critère suiv­ant : “Est accusée de com­plo­tiste toute per­son­ne qui ques­tionne ou remet en ques­tion la doxa médi­a­tique sur des cen­tres d’intérêt forts des néo­con­ser­va­teurs, en par­ti­c­uli­er ayant trait à la poli­tique inter­na­tionale des États-Unis et de leurs alliés” », Olivi­er Berruy­er, Les Crises, 22 mai 2018

« Alors que vient d’être votée une loi con­tre le har­cèle­ment en ligne, un grou­pus­cule d’antifas inter­na­tionaux répon­dant au nom dou­teux de Sleep­ing Giants se vante de harcel­er, sur Twit­ter, les annon­ceurs de Boule­vard Voltaire jusqu’à ce que ceux-ci s’engagent à se retir­er de notre site. […]
Ils font indi­recte­ment de la pub­lic­ité à Boule­vard Voltaire, qu’ils en soient remer­ciés. En revanche, leurs infor­ma­tions erronées nuisent à la crédi­bil­ité de leur sup­port. Cela a d’abord été un arti­cle sur France­Soir : si Pierre Plot­tu, le jour­nal­iste qui en est l’auteur, avait pris la peine de nous appel­er, il aurait évité de repro­duire sans véri­fi­er le chiffre – revendiqué par les Sleep­ing Giants – de « 1.000 annon­ceurs » man­quant à l’appel. », Boule­vard Voltaire, 29 juil­let 2019.

« Hier soir, le jour­nal­iste Pierre Plot­tu, ancien de France Soir passé chez Libé et Slate, com­men­tait ain­si l’attaque de la con­férence de Robert Ménard sur Twit­ter : « Une vidéo des affron­te­ments ». Des « affron­te­ments » ? Non. Une ten­ta­tive d’effraction, une agres­sion et une dégra­da­tion des biens publics et privés com­mis par une mil­ice. Le traite­ment médi­a­tique de l’extrême gauche de com­bat est sidérant de com­plai­sance. », L’Incorrect, 13 févri­er 2020.

« Le réel effraye sou­vent Pierre Plot­tu et les com­men­ta­teurs en général. Ne croy­ant pas en Dieu, ni à l’existence d’ethnies dif­férentes, il voudrait qu’il en soit ain­si pour tout le monde. Hélas, partout dans le monde, il est impos­si­ble d’analyser des ten­sions ou des con­flits sans ces fac­teurs essen­tiels. », Jean-Armand Kom­chouyan, prési­dent de Sol­i­dar­ité Arménie, Bil­let de France, 20 octo­bre 2020.

« Le prob­lème avec vous (Plot­tu et Macé, ndlr), c’est que vous crim­i­nalisez des trucs com­plète­ment logiques et nor­maux, comme vouloir se défendre ou fuir une ville trop dan­gereuse. Et vous rel­a­tivisez les faits qui devraient être large­ment dénon­cés. », Code Rein­ho, YouTube, 24 novem­bre 2020.

En réac­tion à l’arti­cle visant Damien Rieu : « Curieux comme les défenseurs de l’ex-future loi Avia, appelant à dénon­cer les inter­nautes dif­fu­sant de fauss­es infor­ma­tions, se pré­cip­i­tent ici, accep­tant comme preuve, la mise sur écoute de “ l’accusé” , d’une manière détournée, par un groupe de faux-jetons ayant “ infil­tré l’organisation de ce site, qui appa­raît avoir été orchestrée par le col­lab­o­ra­teur RN” […]Dites donc, les gars, quelle serait votre réac­tion si, appli­quant vos méth­odes de pour­ris, un vrai jour­nal… comme “Valeurs Actuelles” par exem­ple, osait met­tre sur écoute un attaché par­lemen­taire éti­queté  “ La France Insoumise ”… ou “ La Ripou­blique en Marche” ? », Riposte Laïque, 28 novem­bre 2020.

Réponse à l’arti­cle à charge accu­sant Guil­laume de Thieul­loy de partager des iden­ti­fi­ants de monéti­sa­tion pub­lic­i­taire avec un blogueur néon­azi : « La dernière pos­si­bil­ité est non idéologique: les mag­nifiques « enquê­teurs » de Libéra­tion (qui ont, pour l’essentiel, copié-col­lé ce que cer­tains de leurs con­fères avaient déjà écrit sur moi, mais en réus­sis­sant le tour de force de se tromper à plusieurs repris­es dans ces copi­er-coller!) ont bel et bien été regarder le code source du site de ce M. Del­bau­vre et y ont trou­vé le code de notre compte… par­mi des dizaines ou des cen­taines d’autres. Car, effec­tive­ment, on trou­ve bien les codes AdSense des sites que je dirige, mais au milieu d’articles repris des­dits sites. Si vous copiez un arti­cle de Libéra­tion sur votre site, vous copiez aus­si, dans le cas général, les liens vers les pub­lic­ités de Libéra­tion. Cela implique-t-il que Libéra­tion entre­tient une col­lu­sion cachée avec le nazisme? Pas sûr que nos plumi­tifs soient aus­si favor­ables à l’amalgame en ce cas… », Guil­laume de Thieul­loy, Le Salon Beige, 14 décem­bre 2020.

Il l’a dit

« C’est ici, presque en face de l’en­trée du mag­a­sin Cita­di­um, que Clé­ment Méric est mort le mer­cre­di 5 juin 2013. En pleine après-midi, au milieu des pas­sants nom­breux dans cette rue com­merçante, une bagarre éclate entre deux groupes. D’un côté, le jeune mil­i­tant de l’Ac­tion antifas­ciste Paris ban­lieue et étu­di­ant à l’In­sti­tut d’é­tudes poli­tiques de Paris et plusieurs de ses amis; de l’autre des mem­bres des Jeuness­es nation­al­istes révo­lu­tion­naires (JNR), un grou­pus­cule d’ex­trême droite dis­sous depuis. La rixe est vio­lente (cer­tains témoins évo­quent un poing améri­cain), mais brève. Très vite, Clé­ment Méric s’ef­fon­dre. Le jeune homme de 18 ans qui se remet­tait d’une leucémie est mort. », France Soir, 26 mai 2015. Pour une recen­sion moins par­tiale de l’Affaire Méric, con­sul­ter ce dossier.

« Les bar­bares voulaient les tuer, ils les ont ren­dus immor­tels. Arnaud Bel­trame est désor­mais immor­tel. La preuve que la République et ses valeurs de lib­erté, d’é­gal­ité et de fra­ter­nité sont plus fortes que le nihilisme islamiste des intolérants de Daech. La preuve qu’ils ne gag­neront jamais. », France Soir, 28 mars 2018.

« L’é­tranger dénon­cé ici comme un vio­leur par les iden­ti­taristes est donc avant tout et surtout un Africain, voire un Maghrébin.
Sauf que le pro­fil type du vio­leur est bien éloigné de ce qu’es­saie de faire croire la pro­pa­gande d’ex­trême droite : les sta­tis­tiques offi­cielles indiquent même que, sur les vingt dernières années, env­i­ron 80% des mis en cause sont de nation­al­ité française. Cette pro­por­tion grimpe а plus de 90% pour les vio­ls sur mineur·s. Une réal­ité des chiffres dont, et c’est un clas­sique, ne s’embarrassent pas les pro­pa­gan­distes qui instru­men­talisent tout autant les vio­lences faites aux femmes que l’é­colo­gie ou la jus­tice sociale. », Slate, 28 novem­bre 2019.

« Après, la réal­ité d’un poten­tiel pas­sage à l’acte ter­ror­iste de mil­i­tants de l’ex­trême-droite rad­i­cale –plus que celle d’un groupe de l’ex­trême droite- est matéri­al­isée par les faits. Depuis 2002, avec la ten­ta­tive d’as­sas­si­nat de Jacques Chirac par Maxime Bruner­ie d’U­nité Rad­i­cale, on au moins une ten­ta­tive par an. Rien que l’an­née dernière, deux groupes se fai­saient égale­ment arrêter : Action des Forces Opéra­tionnelles et les Bar­joles. Il y avait des pro­jets très con­crets. Pour le pre­mier, lors de l’ar­resta­tion, les ser­vices de ren­seigne­ments se sont ren­du compte que l’un d’en­tre eux était en train de con­stru­ire un lab­o­ra­toire de con­struc­tion d’en­gins explosifs. », Atlanti­co, 14 juin 2019.

« On en retien­dra que la famille des grands fachos n’aime pas qu’on s’at­taque à Soral. Et que révéler sa fuite en suisse les tit­ille. », Twit­ter, 29 novem­bre 2019.

« Au sein de ces droites extrêmes, où le vir­il­isme reste un mar­queur et donc la haine xéno­phobe un puis­sant moteur, il n’est pas éton­nant de con­stater que le recours aux poings fait par­tie de la panoplie mil­i­tante de toutes les mou­vances », Libéra­tion, 15 décem­bre 2020.

Son appré­ci­a­tion de la cen­sure : « Les fer­me­tures de comptes n’en restent pas moins courantes et résul­tent de l’application des con­di­tions d’utilisation des sites web voire tout sim­ple­ment de la loi. Point de «cen­sure», comme cer­tains ten­tent de le faire croire. » Libéra­tion, 11 jan­vi­er 2021.

Source illus­tra­tion : cap­ture d’écran vidéo FranceInfo

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