Il était une fois… ça commence comme un conte de fées… Il n’y a pas si longtemps internet et les réseaux sociaux pouvaient être considérés comme un refuge pour la liberté d’expression et un courant d’air frais loin de la propagande douce des médias dominants.
L’ONU via Le Monde : « une migration bien gérée est à l’avantage de tout le monde »
C’est sous ce titre anodin et en apparence facilement partagé par beaucoup de monde que le quotidien du soir interroge (numéro daté du 4/5 mars 2018) Louise Arbour représentante spéciale de l’ONU pour les migrations internationales.
Fake news et complotisme, pour quoi faire ?
Le 7 janvier 2017, Franceinfo rendait publics les résultats d’une étude selon laquelle huit français sur dix croiraient à « au moins une théorie du complot ». Il s’agit d’un sondage IFOP réalisé pour le compte de la Fondation Jean Jaurès et l’association conspiracy watch. À quoi une telle étude peut-elle bien être utile ?
Twitter : des bénéfices et plus de censure
Plus de 12 ans après sa création, Twitter engrange enfin des bénéfices – soit 91 millions de dollars (74 millions d’€) entre octobre et décembre 2017. Cependant, le réseau social est toujours au milieu des polémiques, les premières liées au caractère durable ou non de son modèle économique, les secondes à une censure croissante – surtout des opinions de droite.
Élections en Italie : les médias pompiers veulent-ils éteindre le feu ?
L’analyse des résultats d’une élection est un exercice difficile. À l’occasion des élections législatives qui ont eu lieu le 4 mars en Italie et de la progression de partis dits « populistes », nombre de médias ont trouvé une explication rapide. Ils utilisent des éléments de langage, dont on ne sait plus qui les a introduits ni pourquoi on les répète ad nauseam.
Arrêt sur images : ça black débloque dur !
L’analyse critique des médias est un art nécessaire et difficile. Par exemple sur les black blocks, les médias bégaient ou sont frappés d’Alzheimer. Reprenant le sujet, le fondateur et animateur du site Arrêt sur images (par ailleurs souvent excellent), Daniel Schneidermann, semble passer d’une observation critique des médias à une forme de militantisme. Illustration.
Génération Identitaire sur les écrans et dans les studios
Les 21 et 22 avril 2018, Génération identitaire menait une opération au Col de l’Échelle, dans les Alpes, près de Briançon. Une action qui a fait grand bruit. L’OJIM a écouté ce que radios, télévisions et réseaux sociaux en ont dit.
Fake news, Bruxelles s’y met aussi
Alors que les médias dominants, RSF et AFP en tête annoncent vouloir combattre les fausses nouvelles via des structures normatives qui étoufferont toute voie contestataire, les instances de l’Union Européenne ne pouvaient pas être laissées en queue de peloton.
Bilderberg et le thème de la post-vérité
Les réunions du groupe de Bilderberg soulèvent beaucoup d’interrogations et de fantasmes. La liste des participants a longtemps été secrète, elle est maintenant affichée (voir infra) sans que l’on puisse savoir si d’autres personnes ne se rajoutent pas discrètement.
La presse quotidienne régionale en guerre contre les locaux identitaires
Depuis plusieurs années, la mouvance identitaire s’illustre par l’ouverture de locaux associatifs un peu partout en France : à Paris, Lyon, Marseille mais aussi à Angers et à Lille. À l’hostilité militante d’une extrême-gauche “de rue”, s’ajoute celle de la presse régionale. Deux exemples, avec Ouest-France et La Voix du Nord.
Figaro : Dominique Reynié revient sur l’interdiction de la page Defend Europe par Facebook
L’interdiction de deux pages Facebook par le réseau social californien a été analysée en référence à un article de la Fondation Polemia. Le politologue Dominique Reynié, Président de la Fondapol (souvent présentée comme proche de LR) a publié une intéressante tribune sur le sujet dans Le Figaro du 11 mai 2018).
Les élections législatives en Italie : les réseaux sociaux battent les médias traditionnels
Les sondages utilisés et « chouchoutés » par les médias traditionnels au cours de la campagne électorale italienne de mars 2018, allaient tous dans le même sens : pousser les électeurs vers une « grande coalition » italienne entre le centre gauche (Renzi) et le centre droit (Berlusconi).











