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Vivendi : peine réduite à dix mois avec sursis pour Messier

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19 mai 2014

Temps de lecture : 2 minutes
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Vivendi : peine réduite à dix mois avec sursis pour Messier

Temps de lecture : 2 minutes

Poursuivi pour sa communication à la tête de Vivendi Universal et pour les conditions de son départ en 2002, Jean-Marie Messier vient de voir sa peine adoucie par la Cour d’appel de Paris.

En pre­mière instance, l’ancien patron de Viven­di avait en effet été con­damné à trois ans de prison avec sur­sis et 150 000 euros d’amende, peine que la Cour d’appel a ramenée à dix mois avec sur­sis. Jean-Marie Messier a été recon­nu coupable d’abus de biens soci­aux lié aux con­di­tions d’attribution de son indem­nité de départ de 18,5 mil­lions d’euros, cette indem­nité ayant été assim­ilée à un abus de bien social. La Cour a cepen­dant écarté le chef d’accusation de dif­fu­sion d’informations fauss­es et trompeuses liée à la com­mu­ni­ca­tion de Jean-Marie Messier lorsqu’il était à la tête du groupe Viven­di Universal.

L’avocat de M. messier, maître Fran­cis Szpin­er, a esti­mait qu’il s’agissait d’une « grande vic­toire » tout en indi­quant que son client allait se pour­voir en cas­sa­tion. « Cette déci­sion met fin à la légende selon laque­lle Viven­di Uni­ver­sal aurait été mal géré », estime maître Szpiner.

L’ancien directeur financier de Viven­di Uni­ver­sal, Guil­laume Han­nezo, a égale­ment vu sa peine réduite en appel. Recon­nu coupable de délit d’initiés, il a été con­damné à 850 000 euros d’amende, dont la moitié avec sur­sis, con­tre 15 mois d’emprisonnement avec sur­sis et 850 000 euros d’amende sans sur­sis en pre­mière instance. Il a indiqué sa volon­té de se pour­voir en cas­sa­tion lui aussi.