Un nouveau venu de poids embarque sur le bateau Lagardère bien secoué : Bernard Arnault via son groupe.
AG du groupe Lagardère, une victoire à la Pyrrhus
Arnaud Lagardère a gagné une manche lors de l’assemblée générale à huis clos du 5 mai 2020 mais il pourrait bien perdre le match. Avis de l’arbitre.
Amber contre Lagardère/Bolloré/Lacharrière, le match continue
Une société doit en théorie déposer ses comptes au greffe. Mais beaucoup préfèrent payer une amende et ne pas révéler des détails qui peuvent être déplaisants.
Arnaud Lagardère entre deux feux, qui mangera qui ?
Nous avons consacré de nombreux articles à l’empire d’Arnaud Lagardère. Un empire dont certains secteurs (les Relay, les boutiques d’aéroport, Hachette) se portent bien mais qui rétrécit avec la déconfiture du pôle sportif, les ventes par appartements des magazines et un management erratique.
Les médias au dîner du Siècle du 26 février 2020
Le Siècle, institution privée de l’oligarchie est à la fois un club informel, un centre d’échanges de services réciproques et un réseau d’influence. Un de nos lecteurs nous a fait parvenir la liste des invités au dîner du Siècle du 26 février 2020. Invitation ne veut pas dire présence, mais le nombre et la qualité des invités ayant un lien direct indirect ou avec les médias laisse songeur. Nous avons respecté l’ordre alphabétique en indiquant le nom et le média concerné (ou la société) et nous avons ajouté un prix spécial du jury à la fin de la liste (surprise).
Salut les terriens : Canal+ condamné à verser plus de 800 000 euros à Ardisson
Comme nous l’avions évoqué en juin 2019, Thierry Ardisson avait quitté C8 et le groupe Canal+ suite à des désaccords avec Vincent Bolloré (propriétaire du groupe) qui lui demandait de gros efforts financiers concernant ses émissions “Salut les terriens” et “Les Terriens du dimanche”. Ardisson l’avait alors attaqué en justice.
Zemmour sur CNews, le boycott de la publicité pour le moment inopérant
Résumons : l’émission d’Éric Zemmour sur CNews bat record sur record, les sycophantes habituels du camp du Bien – au-delà des insultes et des anathèmes – décident d’attaquer la chaîne au portefeuille en appelant à son boycott publicitaire partiel (pendant l’émission concernée) ou total (pas de spots sur la chaîne). État des lieux, susceptible d’évolution.
Quand l’instant M fait une liste de mal pensants
Le 11 octobre 2019, Sonia Devillers invitait deux « journalistes médias » pour son émission l’instant M sur France Inter. Pour répondre à la question : « Mais comment en est-on arrivé là ? » au sujet de la participation d’Éric Zemmour à Face à l’info sur CNews, les deux invités sont Isabelle Roberts et Raphaël Garrigos. Une occasion pour le camp du bien de dresser une liste d’intellectuels déviants.
Vincent Bolloré, la main toujours ferme sur son groupe
Vincent Bolloré est à la tête d’un empire. Empire industriel, transports, logistique, ports, immobilier, batteries etc. Empire médiatique via Vivendi qui contrôle Canal+ et ses filiales et dont il est l’actionnaire principal. S’il a cédé la plupart des présidences, il demeure très présent et jamais loin des manettes.
Bolloré rachète le second éditeur français Éditis
Vingt ans après un premier rachat d’Éditis par le Vivendi de l’époque Messier, c’est Vivendi encore, mais aux mains de Bolloré, qui reprend Éditis. Le second éditeur français, qui possède 44 marques et 13 maisons d’édition, a en effet été repris au groupe espagnol Planeta pour 900 millions d’euros.
La réponse de Bolloré ignorée par les médias officiels
Nul ne sait comment la justice jugera Vincent Bolloré. Dès le début de l’affaire l’Observatoire a indiqué une piste politique. Nous avons par la suite donné quelques jalons pour préciser ceux à qui l’affaire pouvait profiter. Pour les médias officiels la cause est entendue…
Affaire Bolloré Vivendi Havas, à qui profite le crime ?
Nous avons rendu compte le 24 avril 2018 de la mise en garde à vue de Vincent Bolloré, propriétaire d’Havas et de nombreux intérêts en Afrique, soupçonné d’avoir utilisé son agence pour favoriser ses affaires dans des concessions portuaires au Togo et en Guinée. Bolloré qui est aussi un homme de médias à travers Vivendi qui contrôle Canal+, et CNews.












