En Europe centrale et orientale, Facebook confie la vérification des informations à des organisations financées par le très progressiste milliardaire américain d’origine juive hongroise, George Soros.
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groupe de Visegrad
L’Observatoire prend des vacances d’hiver
Nous ne partons pas aux sports d’hiver, mais pendant une dizaine de jours, jusqu’au 3 janvier inclus, l’OJIM vous présentera les articles les plus significatifs des quatre derniers mois. Entre les censures de Radio France ou de Twitter, les délires LGBT+ ou indigénistes, les silences sur les faux mineurs migrants, les regards complaisants sur les clandestins, les vidéos interdites, la sortie de notre première brochure papier, la matière ne manque pas. Tout ceci a un coût, il vous reste 8 jours pour nous soutenir avec un reçu fiscal de 66% sur 2020, d’avance merci. Joyeux Noël à toutes et tous et à bientôt.
Les anciens pays de l’Est refusent de voir la censure revenir par les médias sociaux américains
L’Observatoire du Journalisme s’était déjà fait l’écho des actions engagées en Pologne contre la censure politique et idéologique exercée par les médias sociaux américains et par le géant Google via sa plateforme YouTube. Cette censure provoque des réactions également en Hongrie et en Tchéquie.
Viktor Orbán encore pire que le coronavirus ?
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyden s’est découvert un ennemi encore plus dangereux pour les Européens que le coronavirus, la Hongrie de Viktor Orbán.
Vu d’ailleurs : quand la presse américaine apprécie Prague
En Europe de l’Ouest, celle de Merkel et Macron (moins le Royaume-uni en cours de départ), il est de bon ton de dénigrer dans tous les médias convenus, les pays du groupe de Visegrad. Ils seraient comme par essence « d’extrême droite », autrement dit ils ne correspondent pas aux idéaux du centre mou de droite et de gauche européiste style Macron.