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Plan social revu à la baisse pour L’Express

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6 décembre 2015

Temps de lecture : 2 minutes
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Plan social revu à la baisse pour L’Express

Temps de lecture : 2 minutes

Selon une source syndicale, le plan social au sein du groupe L’Express a été revu à la baisse.

Il devait à l’o­rig­ine entraîn­er 125 sup­pres­sions de postes, comme cela avait été annon­cé en sep­tem­bre. Finale­ment, après négo­ci­a­tions, le plan social entraîn­era seule­ment 90 sup­pres­sions, dont 27 jour­nal­istes ou doc­u­men­taristes, a déclaré à l’AFP Jacques Trente­saux, rédac­teur en chef du mag­a­zine et délégué CFDT. Les autres sup­pres­sions con­cerneront des postes admin­is­trat­ifs et techniques.

Jeu­di matin, l’ac­cord sur le plan de sauve­g­arde de l’emploi (PSE), qui devrait coûter entre 15 et 18 mil­lions d’eu­ros, a donc été final­isé. Il sera signé le 18 décem­bre prochain après con­sul­ta­tion des salariés par référendum.

Pour l’heure, la direc­tion n’a pas con­fir­mé le nou­veau nom­bre de sup­pres­sions de postes. Depuis le début de l’an­née, 120 tit­u­laires d’une carte de presse ont déjà quit­té le titre après son rachat par le groupe Altice de Patrick Drahi, dans le cadre de la clause de ces­sion. M. Trente­saux a qual­i­fié ces départs d’« hémor­ragie de cartes de presse ».

« On par­tait d’un plan dras­tique, avec un tiers de départs, un tiers de fil­ial­isés et un tiers (de salariés) qui seraient restés. Il reste très dur mais on a évité le pire », a‑t-il ajouté au sujet du PSE.

Enfin, con­cer­nant le nou­veau pro­prié­taire du groupe, Patrick Drahi, le rédac­teur en chef de L’Ex­press a con­fié ne pas voir « la trace d’un pro­jet d’en­tre­prise digne de ce nom » pour le moment.

Voir notre portrait de Patrick Drahi et notre dossier : « L’empire de Patrick Drahi est-il en train de vaciller ? »