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Accueil | Portraits | Marine Baousson

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27 octobre 2023

Temps de lecture : 13 minutes

27 octobre 2023

Accueil | Portraits | Marine Baousson

Marine Baousson

Temps de lecture : 13 minutes

LGBTQIA+ de service

Marine Baousson est née le 5 mars 1986 à Saint-Brieuc (22). Elle est la fille de Bruno Baousson, directeur du Patrimoine au sein de Côtes‑d’Armor Habitat, sa mère quant à elle est agent du trésor public.

Vie privée

Son frère avec qui elle bosse sur le pod­cast « Vul­gaire », Romain Baous­son, est lui-même artiste, bat­teur et pro­duc­teur de musique, il a notam­ment réal­isé le dernier album du chanteur ren­nais Dominic Son­ic. Il n’est pas le seul mem­bre de la famille à tra­vailler avec Marine, puisque son cousin et sa com­pagne avec qui elle est pac­sée, Élisa Héry, mem­bre du plan­ning famil­ial et organ­isatrice de la marche des fiertés LGBTQIA+ à Saint-Brieuc avec le col­lec­tif “Fiertés plurielles 22” col­la­borent ensem­ble au pod­cast « Vul­gaire ».

Formation

Pour l’humoriste Marine Baous­son, « tout a com­mencé à Ploufra­gan, où elle était sco­lar­isée à l’école de la Vil­lette, puis au collège de la Grande-Métairie. Des années qui seront déci­sives, pour celle qui côtoie la nou­velle généra­tion d’humoriste, avec l’ate­lier théâtre de Mme Logéat et son pro­fesseur prin­ci­pal, M. Riou. En par­allèle, elle suiv­ait des cours avec Del­phine Simon [mem­bre des Sea Girls], puis avec Jeanne François de la com­pag­nie Folle-Pen­sée. » (source : ouest-france.fr).

Le déclic se pro­duit lors de son stage de troisième à La Passerelle, à Saint-Brieuc. « Le pre­mier jour, je fais le tour et je décou­vre la scène du théâtre à l’ital­i­enne : le choc ! C’est à cet instant que j’ai su ce que je voulais faire : de la comédie » (source : ouest-france.fr).

Après avoir obtenu son bac­calau­réat lit­téraire option théâtre, avec la met­teur en scène Annie Lucas, elle est reçue au Con­ser­va­toire nation­al de région de Rennes en 2004. Elle est tit­u­laire d’un DEUG d’arts du spec­ta­cle à Rennes en 2005, puis d’une licence d’é­tudes théâ­trales à Paris en 2007. Durant ses études, elle s’initie à la décla­ma­tion baroque avec le met­teur en scène Ben­jamin Lazar.

Marine Baous­son intè­gre durant deux ans les cours du café théâtre Le Bout, « où elle suit des cours d’écriture, d’inter­pré­ta­tion, et d’impro­vi­sa­tion (Émi­lie Pfef­fer). » (source : panameartcafe.com).

Parcours professionnel

Le CV de Marine Baous­son est bien rem­pli. Depuis 2009 elle mul­ti­plie les spec­ta­cles (Fear­less, La Les­bi­enne Invis­i­ble, Marine Baous­son One Woman Show, Bérengère Krief & Friends, etc), les séries et les films (Lucas A Dis­paru, Com­mis­saire Mag­el­lan, Mis­sion Eve­lyne, Les Tutos, La Grosse Émis­sion, Le Grand Bazhart, Sav — Bateaux De Papi­er, etc), les web-séries (Boobs And Zegang — Bérengère Krief, Pourquoi ne casse t’on jamais les ver­res à moutardes ?, etc), la radio (Le Grand Stu­dio, Les Open du Rire, Zoom Zoom Zen, etc), les émis­sions de télévi­sion Je t’aime etc, Le grand BaZH.art).

À par­tir de 2020, elle lance son pro­pre pod­cast, « Vul­gaire » (« pod­cast de vul­gar­i­sa­tion de trucs, par quelqu’un qui n’y con­nait rien ») adap­té en livre chez Flam­mar­i­on en 2022, et en spec­ta­cle. Elle lance par la suite sa ver­sion pour enfants, « Petit Vul­gaire », que Téléra­ma qual­i­fie : « c’est “Vul­gaire”, mais avec des blagues de prouts. »

Sa nébuleuse

Océan Getty

Marine Baous­son joue la pièce « La les­bi­enne invis­i­ble » (2009) de l’ancienne homo­sex­uelle et dev­enue homme trans, Océan Get­ty. Pour l’humoriste bre­tonne, sa « ren­con­tre avec Océan a créé un tour­nant dans ma façon d’abor­der le méti­er. » (source : sudouest.fr). Selon elle, « Océan porte aus­si des idées poli­tiques, c’est quelqu’un de très mil­i­tant. Je voulais être sûre que j’é­tais d’ac­cord avec lui sur ce qu’il voulait dire dans son spec­ta­cle [« La les­bi­enne invis­i­ble »] et dans sa vie en général. » (source : sudouest.fr).

Ses idées poli­tiques, Océan Get­ty les a exprimées dans un entre­tien au jour­nal La Provence en juil­let 2018, l’humoriste et met­teur en scène (ex-Océanerosemarie) explique qu’il ne croit pas « à la bina­rité. Mais à la per­for­mance du genre, plus ou moins con­sciem­ment, plus ou moins naturelle­ment. Il y a plus de gen­res que deux gen­res. J’ai vécu 40 ans en tant que femme. Ce que les femmes subis­sent depuis la nuit des temps, les injonc­tions morales, les vio­lences, je con­nais. L’idée de devenir un homme trans et de le revendi­quer c’est dire aus­si que l’on va faire mieux qu’un homme cis (un indi­vidu en accord avec son sexe assigné à la nais­sance, ndlr). » Comme le note le quo­ti­di­en provençal, « Océan égratigne, avec appé­tence, les BBB (blancs, bons, bobos). » (source : calameo.com).

Élisa Héry

Pac­sée avec Marine Baous­son, cette développeuse web par­ticipe au pod­cast « Vul­gaire ». Selon Marine Baous­son, le « pre­mier épisode a été écrit en col­lab­o­ra­tion étroite avec ma chère et ten­dre, oui, cette per­son­ne qui partage ma vie [Élisa Héry], mon lit, et depuis la semaine dernière un compte com­mun. En gros, elle a fait les par­ties sérieuses et moi j’ai fait les blagues de prout. Ce qui, il faut le dire, est aus­si est aus­si une bonne déf­i­ni­tion de notre cou­ple. » (source : slate.fr). Bénév­ole au Plan­ning famil­ial, Élisa Héry a organ­isé la pre­mière Marche des fiertés LGBTQIA+ (les­bi­en, gay, bisex­uel, trans­genre, queer, inter­sexe, asex­uel) des Côtes‑d’Armor en 2022 à Saint-Brieuc avec « Fiertés plurielles 22. » Ce col­lec­tif qui regroupe des mem­bres issus du Plan­ning famil­ial, d’Aglae (Armor Gays Les­bi­ennes Aide Écoute) et de GreyPride s’appuie aus­si sur des parte­naires insti­tu­tion­nels comme la mairie de Saint-Brieuc, la Dil­crah (Délé­ga­tion Inter­min­istérielle à la Lutte Con­tre le Racisme, l’An­tisémitisme et la Haine anti-LGBT), mais aus­si La Ligue des droits de l’homme 22, Stere­denn (Dinan), le col­lec­tif LGBTQI de Mor­laix, le col­lec­tif Queer Land et les asso­ci­a­tions nationales Aides et Nous Toutes (source : ouest-france.fr).

À cette occa­sion, Élisa Héry a expliqué les moti­va­tions pous­sant à l’organisation de cette marche à Saint-Brieuc : « lut­ter con­tre les dis­crim­i­na­tions, c’est notre prin­ci­pale reven­di­ca­tion. Que l’événe­ment ait lieu en plein cen­tre-ville et un same­di après-midi, c’est super impor­tant pour nous. Ça per­met de lut­ter con­tre l’in­vis­i­bil­i­sa­tion des per­son­nes LGBTQIA +, que celles-ci réaf­fir­ment leur place au sein de l’e­space pub­lic. (…) D’un côté, il y a un vrai pro­grès actuelle­ment, avec beau­coup de stars qui s’af­fir­ment en tant que per­son­nes LGBTQIA +. C’est hyper impor­tant, ça apporte un vrai sou­tien pour les jeunes. » (source : letelegramme.fr) 

Ce qu’elle gagne 

Non ren­seigné.

Publications

    • Vul­gaire : vul­gar­i­sa­tion de trucs par quelqu’un qui n’y con­naît rien (Flam­mar­i­on).
    • Boobs & Zegang (pseud. coll. de Bérengère Krief et Marine Baous­son), 50 con­seils pour réus­sir dans l’u­nivers impi­toy­able du blog (Hugo image).

Collaborations / Militantisme

Marine Baous­son aide finan­cière­ment les deux mou­ve­ments dont fait par­tie sa com­pagne Élisa Héry, le Plan­ning famil­ial et le col­lec­tif « Fiertés plurielles 22 » qui organ­ise la marche des fiertés LGBTQIA+ à Saint-Brieuc : « ma copine fait par­tie de l’organ­i­sa­tion de la Marche des fiertés, à Saint-Brieuc et du Plan­ning famil­ial, dont je me sens proche. Jai réal­isé, par exem­ple, un épisode de mon pod­cast Vul­gaire, dont tous les béné­fices ont été rever­sés au Plan­ning. C’est impor­tant pour moi de les soutenir. La Marche des fiertés coûte cher. L’année dernière, les organ­isa­teurs pen­saient avoir 500 per­son­nes et finale­ment, il y en a eu 2 000. (…) Je me suis demandé com­ment je pou­vais aider, en sachant que j’ai mon réseau, mon savoir-faire et sans que cela n’engage de l’argent. On vient de lancer une tombo­la. Jai con­tac­té tous mes potes humoristes. Plusieurs bouquins dédicacés sont à gag­n­er. » (source : ouest-france.fr).

Elle a par ailleurs rever­sé l’intégralité des béné­fices de ses balades touris­tiques de la ville de Saint-Brieuc en 2023 au prof­it de la Marche des Fiertés de sa ville.

Out­re son aide finan­cière, elle a par­ticipé en juin 2023 « Pride Com­e­dy Show » sur Comédie+ et Hel­lo Canal+, dans le cadre du mois des fiertés LGBTQ+ et elle a présen­té le « pre­mier plateau humour LGBTQIA+ » en 2022 lors de la soirée FIER.E.S.

Et sur X (ex-Twit­ter), Marine Blou­son n’hésite pas à affich­er son sou­tien aux dif­férentes caus­es du mou­ve­ment LGBTQIA+, elle partage le com­mu­niqué du Col­lec­tif Inter­sexe Activiste ou les sketchs de l’humoriste Tah­nee comme « con­nais­sez-vous bien la cul­ture les­bi­enne ? » ou la chan­son « Je n’su­is plus hétéro ».

Par con­tre, Marine Baous­son n’est pas une par­ti­sane de la lib­erté d’expression débridée ou de l’humour cor­rosif : « Aujour­d’hui, on entend : ” On ne peut plus rien dire.” Tant mieux si on peut arrêter de heurter des com­mu­nautés, de rabaiss­er, de trans­met­tre des clichés. Les humoristes ont une place par­ti­c­ulière dans la société, les gens payent pour nous écouter, on a une respon­s­abil­ité. Donc for­cé­ment la parole est poli­tique. Je pense qu’on peut rire de tout, si on se place au bon endroit. Il ne faut jamais acca­bler les vic­times. » (source : sudouest.fr).

Elle l’a dit

« C’est en voy­ant un spec­ta­cle d’Anne Roumanoff que j’ai eu le déclic. Je me suis dit que si faire rire les gens était un méti­er, c’é­tait celui que je voulais faire. » Le Pro­grès, 22/06/2019.

Vous revien­drez à Lyon en octo­bre pour jouer un autre spec­ta­cle, au Radi­ant, La les­bi­enne invisible…
« Oui, c’est un spec­ta­cle qui a car­ton­né entre 2009 et 2014. 550 dates, un film à la Cigale, une BD, un livre de recettes… C’est écrit et joué par Océane Rose Marie, une jeune femme qui est main­tenant un jeune homme, Océan. Son spec­ta­cle m’a touchée. C’est une parole que l’on n’en­tend jamais, celle des les­bi­ennes. Un soir, il m’a téléphoné en me dis­ant qu’il avait eu une révéla­tion, qu’il fal­lait que je reprenne le rôle. »
Le côté mil­i­tant est-il impor­tant pour vous ?
« Je n’y tenais pas for­cé­ment avant, mais oui, je crois que c’est une cause qui doit tou­jours être défendue. C’est impor­tant de par­ler aux jeunes les­bi­ennes, aux par­ents, à tous en fait. Finale­ment, c’est juste l’his­toire d’une jeune fille qui cherche l’amour. », Le Pro­grès, 22/06/2019.

« Non, je suis les­bi­enne, c’est mon quo­ti­di­en. Ce spec­ta­cle [La Les­bi­enne invis­i­ble] per­met de soulign­er l’ab­sur­dité de cer­taines craintes. Mon quo­ti­di­en n’est com­pliqué qu’à cause de la société. Quand j’ai com­mencé le spec­ta­cle, je ne dis­ais pas que j’é­tais les­bi­enne sur scène. J’e­spère que ce spec­ta­cle sera vu par des jeunes parce qu’ils se posent des ques­tions, parce qu’ils sont dans une cer­taine douleur. Être homo, ce n’est pas moins bien qu’être hétéro. Ça me fait plaisir chaque soir de le dire parce que ça me fait du bien de le rap­pel­er. », Sud Ouest, 24/01/2020.

« Aujour­d’hui, on entend : ” On ne peut plus rien dire.” Tant mieux si on peut arrêter de heurter des com­mu­nautés, de rabaiss­er, de trans­met­tre des clichés. Les humoristes ont une place par­ti­c­ulière dans la société, les gens payent pour nous écouter, on a une respon­s­abil­ité. Donc for­cé­ment la parole est poli­tique. Je pense qu’on peut rire de tout, si on se place au bon endroit. Il ne faut jamais acca­bler les vic­times. », Sud Ouest, 24/01/2020.

« Ma copine fait par­tie de l’organ­i­sa­tion de la Marche des fiertés, à Saint-Brieuc et du Plan­ning famil­ial, dont je me sens proche. Jai réal­isé, par exem­ple, un épisode de mon pod­cast Vul­gaire, dont tous les béné­fices ont été rever­sés au Plan­ning. C’est impor­tant pour moi de les soutenir. La Marche des fiertés coûte cher. L’année dernière, les organ­isa­teurs pen­saient avoir 500 per­son­nes et finale­ment, il y en a eu 2 000. La prochaine aura lieu le 13 mai. Je me suis demandé com­ment je pou­vais aider, en sachant que j’ai mon réseau, mon savoir-faire et sans que cela n’engage de l’argent. On vient de lancer une tombo­la. Jai con­tac­té tous mes potes humoristes. Plusieurs bouquins dédicacés sont à gag­n­er. », Ouest-France, 10 avril 2023.

« J’ai eu l’idée il y a très longtemps [pod­cast « Vul­gaire »]. Je pen­sais avoir énor­mé­ment de cul­ture générale mais plus je vieil­lis et plus je me con­fronte à des con­ver­sa­tions avec des gens qui en ont vrai­ment. Je me rends compte que sou­vent, je ne com­prends pas trop ce qu’on me racon­te. », Francetv­in­fo, 19/11/2021.

« Je fais des recherch­es sur Inter­net, explique Marine Baous­son, je fouille dans les livres, je regarde plein de doc­u­men­taires et puis j’explique ce que j’ai com­pris. Peut-être que j’ai mal com­pris et je reçois alors des mes­sages de per­son­nes qui me dis­ent que je me suis trompée. Et je suis d’ac­cord car je n’ai pas d’ego sur le fait que je saurais mieux que les autres. », Francetv­in­fo, 19/11/2021.

« le pre­mier épisode de Vul­gaire que j’ai écrit en col­lab­o­ra­tion étroite avec ma chère et ten­dre, oui, cette per­son­ne qui partage ma vie, mon lit, et depuis la semaine dernière un compte com­mun. En gros, elle a fait les par­ties sérieuses et moi j’ai fait les blagues de prout. Ce qui, il faut le dire, est aus­si est aus­si une bonne déf­i­ni­tion de notre cou­ple.», Slate.fr, 12/12/2022.

« Du coup j’ai pris plein de feuilles et j’ai com­mencé à écrire ce qui me pas­sait par la tête ! Ce qui était dur c’é­tait de trou­ver une façon de met­tre ça en page, ça n’avait aucun sens (…) J’ai mon­tré ça le soir à Elisa Héry, développeuse, et qui était par­tante pour m’aider ! On a demandé un peu d’aide, aus­si (…) J’ai demandé à mon frère, Romain, qui est musi­cien, de nous faire une petite musique (…) Je l’adore car elle fait vrai­ment musique de jeu vidéo des années 90, elle est super éner­vante… », tendances.orange.fr, 21/04/2020.

« la ren­con­tre avec Océan a créé un tour­nant dans ma façon d’abor­der le méti­er. », Sud Ouest, 24/01/2020.

« C’est quelqu’un que je con­nais. Il a écrit le texte et, en plus, le met en scène. Océan porte aus­si des idées poli­tiques, c’est quelqu’un de très mil­i­tant. Je voulais être sûre que j’é­tais d’ac­cord avec lui sur ce qu’il voulait dire dans son spec­ta­cle et dans sa vie en général. Et enfin repren­dre ce per­son­nage, c’é­tait faire un com­ing-out. Donc j’avais peur. J’ai regardé le film tiré du spec­ta­cle, le DVD du spec­ta­cle. La pré­pa­ra­tion a été les répéti­tions avec Océan. », Sud Ouest, 24/01/2020.

Ils l’ont dit

« Les francs-maçons, Mai 68, Lour­des, le procès de Bobigny, le joint du culasse, les marées… Autant de trucs vul­gar­isés par quelqu’un qui n’y con­naît rien, à tra­vers près de 140 pod­casts. », Ouest-France, 08/12/2021.

« Marine Baous­son ne cor­re­spond pas aux normes de la beauté fémi­nine, et elle le sait. Oui, elle est grosse. Elle s’at­taque à ceux (les mecs surtout) qui débar­quent en com­men­taire pour le lui faire remar­quer : “Mer­ci pour l’in­fo mais je suis déjà au courant. Toi, tu pens­es que tu m’in­sultes alors qu’en fait, tu dis juste un fait sur moi.” », Femme Actuelle, 12/01/2023.

« En plus, Marine est les­bi­enne, alors elle a vrai­ment toutes les raisons de subir des cri­tiques. Heureuse­ment qu’elle a de l’humour. », Femme Actuelle, 12/01/2023.

« Quand la jeune femme de 28 ans nav­igue sur les réseaux soci­aux, elle clique sur des liens par hasard, avec “tou­jours cette impres­sion d’avoir loupé un épisode”. Les faits de société, la poli­tique, Marine Baous­son s’y sen­si­bilise par l’hu­mour : “J’ai accès à l’in­fo par des séries de sketchs comme le Radio Bistrot d’Anne Roumanoff.” « L’ac­tu vue par Marine Baous­son », Ouest-France, 20 févri­er 2015

« On le dit d’emblée : ce ne sont pas pour ses jeux de mots, volon­taire­ment low-cost et servis en apéro avec un petit sourire hon­teux, que l’on con­seille d’aller voir Marine Baous­son. », Le Parisien, 02/04/2018.

« Peur d’être moche. D’être nulle au lit. De ne pas avoir d’en­fants. De dire « je t’aime » à ses par­ents. Peur de ne pas aimer. De ne pas être aimée… Bref tout y passe. Et on ne doute pas une sec­onde qu’elle saura nous faire rire de toutes ses peurs. », Le Pro­grès, 19/06/2019.

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