Autant les médias du groupe Ebra du Crédit Mutuel sont connus, autant ceux du Crédit Agricole sont discrets ; le groupe Uni-médias de la banque des campagnes n’est pourtant pas loin des 100M€ d’activités, avec une jolie rentabilité.
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Ebra
L’Observatoire prend des vacances d’hiver
Nous ne partons pas aux sports d’hiver, mais pendant une dizaine de jours, jusqu’au 3 janvier inclus, l’OJIM vous présentera les articles les plus significatifs des quatre derniers mois. Entre les censures de Radio France ou de Twitter, les délires LGBT+ ou indigénistes, les silences sur les faux mineurs migrants, les regards complaisants sur les clandestins, les vidéos interdites, la sortie de notre première brochure papier, la matière ne manque pas. Tout ceci a un coût, il vous reste 8 jours pour nous soutenir avec un reçu fiscal de 66% sur 2020, d’avance merci. Joyeux Noël à toutes et tous et à bientôt.
Groupe EBRA : coup de froid sur les emplois et regroupements en continu
Le groupe EBRA, propriété du Crédit Mutuel, est le premier groupe de presse régionale en France. Les fusions diverses et les plans de départs volontaires y sont monnaie courante, et cela continue à l’été 2018.
Changements chez EBRA/Crédit Mutuel : Philippe Carli fait le ménage
Non, EBRA n’est pas le nom d’un zèbre de la région Rhône-Alpes, c’est le sigle du premier groupe de la presse quotidienne régionale (PQR) en France, devançant le groupe Ouest-France SIPA de la famille Hutin. EBRA, comme Est Bourgogne Rhône-Alpes, est la propriété de la banque Crédit Mutuel.
Le Progrès : 77 postes menacés par un plan de départs volontaires au quotidien lyonnais
D’après la section syndicale SNJ du Progrès, 77 postes sont menacés dans le cadre d’un plan de départs volontaires au Progrès. Le journal lyonnais pourrait ainsi perdre 27 postes à la rédaction et 30 dans les services administratifs, sur une masse salariale totale de 500 postes. Ce plan s’inscrit dans les difficultés générales du groupe Ebra (Crédit Mutuel) qui mise sur la réorientation vers le web des titres de presse quotidienne régionale (PQR) dont il dispose.
À Saint-Denis, les « profiteurs de guerre » vendent leur vidéo aux journalistes
« Y’a de l’actu, je sais que je peux faire de l’argent (…) J’ai pas de travail. » « Elles sont belles, elles sont pas chères, qui veut des scènes de massacre ? » Depuis les attentats de Paris, un nouveau type de commerce voit le jour : les vidéos amateurs vendues aux...