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Journaliste de presse écrite, « pire métier du monde » ?

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28 avril 2013

Temps de lecture : < 1 minute
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Journaliste de presse écrite, « pire métier du monde » ?

Temps de lecture : < 1 minute

Le métier de journaliste de presse écrite serait le pire métier du monde selon une étude menée par le site américain CarrerCast.

Stress impor­tant, revenus très moyens (36 000 $ soit env­i­ron 28 000 € par an) et des per­spec­tives pro­fes­sion­nelles mit­igées ont pesé dans la bal­ance de l’étude, qui se base sur les don­nées du Bureau des sta­tis­tiques du tra­vail. Le méti­er de jour­nal­iste de presse écrite était en con­cur­rence avec des cen­taines d’autres et a finale­ment décroché la palme.

Pour Paul Gillin, ce méti­er « s’ef­fon­dre en rai­son du mod­èle non durable de la presse écrite. Un mod­èle qui dis­paraî­tra sûre­ment com­plète­ment d’i­ci dix ans ». Il est aus­si soumis à une con­cur­rence crois­sante dans le numérique. « Avec l’évolution des tech­nolo­gies, les con­tenus sont acces­si­bles en lignes de n’importe où et men­a­cent les jour­naux papiers », ajoute Rochelle Gilken, une anci­enne journaliste.

Crédit pho­to : Luci­ja Hilje via SXC (cc)

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