Le drame de Crépol est encore dans toutes les têtes.
Le meurtre de Thomas à Crépol devrions-nous écrire. Après la publication d’un livre à charge sur le sujet, écrit en collaboration par un spécialiste des fake news et farci de mensonges et d’approximations, l’Ojim a mené l’enquête et lance un appel aux dons.
Les faits
Revenons à la soirée du 18 novembre 2023 à Crépol, village drômois de 530 habitants où se déroule un bal. Tout commence paisiblement, mais vers minuit des « jeunes » venus du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère s’invitent à la fête, deux armes blanches sont confisquées à l’entrée. A la fin de la soirée une altercation éclate pour un motif futile. Les « jeunes » de la Monnaie font venir leurs amis de la cité, un couteau sort, Thomas tombe poignardé en plein cœur, les « jeunes » fuient vers leur cité.
Le roman publié chez Grasset
Dès le 27 novembre, Patrick Cohen sera le premier à tenter un contre-feu en reprenant les témoignages des assaillants, en les excusant et en excluant le caractère antiblanc de l’expédition punitive. Il sera d’ailleurs repris par l’Arcom.
C’est dans ce contexte que les journalistes Jean-Michel Décugis, Marc Leplongeon et Pauline Guéna publient en mars 2025, Une nuit en France, « livre-enquête » qui entend, selon les leurs mots, « démonter la mécanique infernale » qui a fait du meurtre du jeune rugbyman « un fait de société ». Jean-Michel Décugis (voir son portrait infra) est un spécialiste des bobards. La thèse des auteurs est simple : il s’agit d’un simple fait divers, monté en épingle par la « fachosphère ». Les auteurs ont été largement invités sur les chaînes du service public. Notre contre-enquête démonte les mensonges du livre, un ouvrage publié pour réécrire le drame en le banalisant. Symboliquement Thomas est tué une deuxième fois.
Voir aussi : Jean-Michel Décugis, portrait
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Claude Chollet
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