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<span class="dquo">“</span>Cette enquête, c’est une bombe !” : François Bousquet brise le tabou du racisme antiblanc dans une enquête choc

20 octobre 2025

Temps de lecture : 12 minutes
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Cette enquête, c’est une bombe !” : François Bousquet brise le tabou du racisme antiblanc dans une enquête choc

Temps de lecture : 12 minutes

Cette enquête, c’est une bombe !” : François Bousquet brise le tabou du racisme antiblanc dans une enquête choc

Dans un entre­tien sans con­ces­sion, François Bous­quet, rédac­teur en chef de la revue Élé­ments, revient sur son enquête choc, la pre­mière du genre, con­sacrée au racisme antiblanc en France : Le racisme antiblanc. L’enquête inter­dite. À rebours des dogmes dom­i­nants, il affirme vouloir bris­er le silence sur « ce tabou des tabous » tou­jours min­imisé, sou­vent nié, par ceux-là mêmes cen­sés le documenter.

Quarante témoignages de racisme antiblanc

Ils sont quar­ante. Quar­ante à avoir eu le courage de témoign­er du racisme antiblanc dont ils ont été vic­times dans le silence com­plice des insti­tu­tions. Sous la plume de l’es­say­iste et jour­nal­iste François Bous­quet, ces jeunes brisent – pour la pre­mière fois – le « tabou des tabous », détru­isant par là même le dogme du racisme sys­témique, ver­rou idéologique qui jusqu’alors empêchait toute recon­nais­sance de leur souffrance.

Dans cette enquête inédite et acca­blante, l’auteur jette une lumière crue sur les jour­nal­istes, uni­ver­si­taires, enseignants et poli­tiques qui se révè­lent, à la faveur de témoignages par­fois à la lim­ite du souten­able, com­plices d’un déni et d’un délit de masse.

Pour l’Observatoire du jour­nal­isme, François Bous­quet revient sans ambages sur ces « don­neurs de leçons » qui, bien que jurant leur attache­ment à la diver­sité comme à un dogme, « pra­tiquent l’entre-soi comme un art de vivre » et encour­a­gent, par leur silence com­plice, le racisme antiblanc.

Vous avez imposé l’anony­mat à cer­tains de vos témoins, con­nais­sant, dites-vous, le prix aujour­d’hui exor­bi­tant de la vérité. Qu’impliquerait pour eux le fait de témoign­er à vis­age découvert ?

François Bous­quet : Chez cer­taines vic­times, il y a la peur de repré­sailles physiques ; chez d’autres, la peur de con­fron­ter leur entourage proche, les par­ents en général, à leur défail­lance ou leur aveu­gle­ment. Mais, le plus sou­vent, c’est un autre spec­tre qui rôde : celui de la mort sociale et de la déchéance sym­bol­ique. La gauche bien-pen­sante se gausse quand on évoque l’argument de cette mort sociale, mais ce sont ses tri­bunaux qui, les pre­miers, en pronon­cent la sentence.

Deman­dez à Colombe, cette Per­pig­nanaise bénév­ole des Restos du cœur, elle-même allo­cataire du RSA, con­gédiée sans ménage­ment l’an dernier pour avoir assisté à un meet­ing de Jor­dan Bardel­la. Deman­dez à Jean-François Achilli, licen­cié par Radio France pour avoir tra­vail­lé à un livre avec le même Bardel­la, alors qu’il y a des dizaines de bouquins coécrits par des jour­nal­istes et des poli­tiques. Deman­dez aux syn­di­cal­istes CGT ce qui leur est arrivé quand ils ont osé faire leur out­ing fron­tiste. Tous virés, sans autre forme de procès. Encore, je ne cite que les quelques cas qui me vien­nent spon­tané­ment à l’esprit. Com­bi­en d’autres ?

Nous qui gravi­tons dans des sphères poli­tiques ou mil­i­tantes, nous avons tous au moins une con­nais­sance proche qui a per­du son emploi pour avoir dévié de la ligne. C’est du mac­carthysme inver­sé. Il en va de même pour les vic­times de racisme antiblanc. C’est sou­vent pour elles la dou­ble peine. Non seule­ment elles subis­sent des agres­sions, mais en plus, par une mécanique per­verse bien rodée, elles sont soupçon­nées d’être elles-mêmes racistes. C’est l’inversion accusatoire dans sa ver­sion la plus tox­ique, celle où la vic­time devient le prin­ci­pal sus­pect. Dans ce con­texte, témoign­er à vis­age décou­vert, c’est se con­damn­er à l’ostracisme, en risquant sa répu­ta­tion, son tra­vail, par­fois même ses liens famil­i­aux. Voilà pourquoi l’anonymat s’imposait.

Comme vous le soulignez, la majorité des jour­nal­istes et des poli­tiques sont blancs et – surtout – les pre­miers à refuser la mix­ité sociale et pro­fes­sion­nelle. Com­ment expli­quer que ces groupes ne prof­i­tent pas juste­ment de leur posi­tion pour défendre les leurs ?

François Bous­quet : Homo duplex. L’homme est dou­ble. Cette duplic­ité atteint des som­mets dans les pro­fes­sions intel­lectuelles. Le hia­tus entre ce qui est pro­fessé et ce qui est pra­tiqué y est plus cri­ant que partout ailleurs. Le max­i­mal­isme des déc­la­ra­tions – « il faut accueil­lir tout le monde » – jure avec le lax­isme des pra­tiques : carte sco­laire con­tournée, quarti­er gen­tri­fié, envi­ron­nement social épuré. Les don­neurs de leçons pra­tiquent l’entre-soi comme un art de vivre, mais jurent leur attache­ment à la diver­sité comme à un dogme. Indi­vidu­elle­ment, ils font jouer des réflex­es de survie trib­ale : ils choi­sis­sent soigneuse­ment l’école de leurs enfants, leur voisi­nage, leurs rela­tions, tout cela dans une logique d’endogamie cul­turelle, de repro­duc­tion sociale et d’évitement eth­nique. Mais col­lec­tive­ment, ils s’interdisent de le reconnaître.

C’est là qu’intervient la psy­cholo­gie des foules, au sens de Gus­tave Le Bon : dès qu’ils se regroupent, ces indi­vidus intel­li­gents devi­en­nent stu­pides, gré­gaires, aveuglés par la gris­erie morale du groupe. Le con­formisme fait le reste.

Ce qu’ils per­dent en lucid­ité, ils le gag­nent en grat­i­fi­ca­tions sym­bol­iques. La pos­ture pro­gres­siste est rentable. Elle offre des div­i­den­des immatériels : la bonne con­science, la supéri­or­ité morale, l’impression flat­teuse d’être du bon côté de l’histoire. Mais elle offre aus­si des revenus bien réels, son­nants et trébuchants. Toute une économie de la bien-pen­sance s’est struc­turée autour de cela. Pour un Jean-François Achilli viré, com­bi­en de con­frères ont con­forté leur posi­tion et grim­pé les éch­e­lons ? Le pro­gres­sisme est une rente – morale, sociale, médi­a­tique. Comme tou­jours, la pos­ture cache une impos­ture. On est là au cœur du Tartuffe de Molière, sous-titré « L’Imposteur ».

Vous par­lez du mot « race » comme d’un « bâton de dyna­mite » pour les jour­nal­istes. Il n’y a pas si longtemps encore, la ques­tion eth­nique ne souf­frait d’au­cun tabou. Com­ment expliquez-vous cette bas­cule ? Pensez-vous que cela puisse changer ?

François Bous­quet : Dans les sociétés archaïques, cer­tains mots ne se prononçaient qu’en trem­blant, les mains jointes et les yeux bais­sés : le tétra­gramme « Dieu » chez les pre­miers Hébreux, le mot « Dia­ble » dans à peu près toutes les civil­i­sa­tions. Chez nous, mod­ernes d’occasion, c’est le mot « race » qui provoque les mêmes gestes de con­ju­ra­tion. On ne le prononce pas sans s’asperger aus­sitôt d’eau bénite et sans réciter dans la foulée un chapelet de con­fi­te­or antiracistes. Pen­sée mag­ique. C’est celle qui s’est emparée des députés, en 2018, quand ils ont voulu sup­primer, dans un bel élan una­n­imiste, le mot « race » de la Con­sti­tu­tion. Sup­primer le mot, c’était croire pou­voir abolir la chose. Magie blanche du lég­is­la­teur con­tre magie noire de l’histoire.

Ces rit­uels d’exorcisme s’expliquent : le sur­moi des Européens – surtout de l’Ouest – est façon­né par une han­tise rétro­spec­tive : le nazisme. Tout notre édi­fice moral s’organise autour de ce foy­er brûlant, du moins jusqu’à il y a peu. Plus jamais ça ! À tel point qu’il suff­i­sait, il y a quinze ans à peine, de pronon­cer « race » pour entraîn­er aus­sitôt une onde d’indignation médi­a­tique. On croy­ait cette ques­tion raciale défini­tive­ment reléguée au musée des hor­reurs. Barack Oba­ma, en 2008, s’enorgueillissait même d’être le héraut d’une Amérique pos­tra­ciale. Or voilà que la race nous revient en boomerang, clas­sique retour du refoulé.

Ce retour ne s’est pas fait tout seul. Il a été pré­paré par un courant de pen­sée, longtemps con­finé aux cam­pus améri­cains, qui a su cap­i­talis­er sur l’affaire George Floyd, en 2020, pour déclencher un « Great Awak­en­ing », l’un de ces Grands Réveils qui jalon­nent l’histoire améri­caine – non plus religieux, comme dans les âges antérieurs, mais racial. Le mot « woke » dit bien ce qu’il veut dire : un éveil ou plutôt un réveil. Cette idéolo­gie, œuvre des « racisés » et de ceux que j’appelle les « grands Blancs », a sub­sti­tué aux grilles de lec­ture marx­istes ou libérales celle plus élé­men­taire de la race. Mais à une con­di­tion : que les Blancs en soient la part mau­dite. Ce à quoi con­sen­tent volon­tiers les « grands Blancs » pro­gres­sistes, d’autant plus aisé­ment qu’ils restent les pre­miers pro­cureurs dans ce procès truqué.

C’est là l’un de ces para­dox­es des con­séquences, fam­i­liers à la pen­sée de Max Weber : le retour impen­sé du refoulé racial a con­traint les Blancs à prob­lé­ma­tis­er, à leur tour, une ques­tion qu’ils pen­saient avoir défini­tive­ment évac­uée. Ils ont beau répéter : « Non, fontaine empoi­son­née de la race, je ne boirai pas de ton eau », ils en boivent, con­traints et for­cés par la société mul­ti­eth­nique qu’ils ont con­tribué à faire advenir.

Les jour­nal­istes et les poli­tiques, dites-vous, exploitent sans ver­gogne les agres­sions racistes, celles des Blancs envers les extra-Européens. Pourquoi le faire ?

François Bous­quet : L’après-guerre n’est qu’une lente descente dans les délices de la faute, la « felix cul­pa », la faute bien­heureuse, jouis­sive, dans laque­lle se vautrent nos élites, car il est com­mode de s’accuser d’une faute que l’on n’a pas com­mise. Han­nah Arendt a des pages ter­ri­bles sur cette com­plai­sance vertueuse. Le psy­ch­an­a­lyste Daniel Sibony par­le même de « cul­pa­bil­ité nar­cis­sique », le para­doxe d’une faute fan­tas­mée qui devient source d’amour-propre.

Ce type de patholo­gie est la norme par­mi les élites. En pra­tique, elle revient à acca­bler le seul peu­ple his­torique (Dupont La joie, les Deschiens, le « beauf » de Cabu, etc.), ces « petits Blancs », qui sont les déposi­taires exclusifs du péché orig­inel. Pas les élites, bien sûr. Cette cul­pa­bil­i­sa­tion a eu pour effet de cass­er un ressort vital dans la survie de toute col­lec­tiv­ité humaine : l’estime de soi. Les peu­ples comme les indi­vidus ont besoin d’un idéal du moi, qu’ils cherchent à main­tenir et à con­solid­er. Mais lorsque cet idéal est méthodique­ment détru­it, ne reste que la honte.

Cela a des effets con­crets dra­ma­tiques sur les col­légiens blancs que j’ai ren­con­trés et qui évolu­ent dans des envi­ron­nements sco­laires où ils sont minori­taires. Au moin­dre cours d’histoire, ils devi­en­nent les sym­bol­es de cette France haïss­able, chargée de tous les péchés du monde. Chaque leçon – coloni­sa­tion, esclavage, Shoah, etc. – se trans­forme en fla­gel­la­tion. Au fil de mon enquête, je n’ai pas ren­con­tré un seul ex-ado blanc, vic­time de racisme antiblanc, qui ne m’ait pas con­fié qu’adolescent, il avait eu honte d’être français. Pas un seul, je dis bien pas un seul, qui n’ait été ten­té, ado­les­cent, d’effacer ce qu’il était, de trav­e­s­tir son iden­tité en s’inventant des orig­ines étrangères. Voilà où nous a con­duit la rétro-satani­sa­tion de notre histoire.

Votre livre prétend « débunker » la théorie du racisme sys­témique mais surtout révéler au grand jour l’ex­is­tence du racisme antiblanc. Les jour­nal­istes pour­raient vous oppos­er que vous n’avez « que » quelques dizaines de témoignages et que cela ne démon­tre donc pas un phénomène struc­turel…

François Bous­quet : Quar­ante témoins, ce n’est pas rien. À ma con­nais­sance, il n’y a pas de quo­rum pour engager une action col­lec­tive ou un recours col­lec­tif, quar­ante suf­fi­raient sans peine. Il a suf­fi de la pub­li­ca­tion d’une pho­to, celle d’un mort, le petit Aylan, en 2015, pour accélér­er l’accueil d’étrangers lors de la crise des migrants – pho­to médi­a­tique­ment et éhon­té­ment sur­ex­ploitée. Mais dès qu’il s’agit de Blancs agressés parce que Blancs, les seuils s’élèvent : il ne faudrait plus un témoignage, ni dix, ni cent, mais des mil­liers cer­ti­fiés par huissier.

Cela dit, les jour­nal­istes n’ont rien à oppos­er à mon enquête, sinon une fin de non-recevoir. Je n’ai reçu aucune invi­ta­tion dans les médias cen­traux, excep­tion faite d’un débat dans les colonnes de Mar­i­anne à l’initiative de la jour­nal­iste, Rachel Binhas.

Ces chiffres, si lim­ités soient-ils – et ils le sont com­parés à l’ampleur du phénomène –, ont au moins un mérite : ils pul­vérisent le dogme de l’inexistence du racisme antiblanc.

La vérité, c’est que chercheurs, démo­graphes, sta­tis­ti­ciens ne le cherchent pas. Ne le cher­chant pas, ils ne le trou­vent pas. Une fois, une seule, il y a quinze ans, l’Insee et l’Ined, dans le cadre d’une enquête sur les dis­crim­i­na­tions, à par­tir d’un énorme échan­til­lon­nage, ont mon­tré que le « groupe majori­taire » (grosso modo les Français mét­ro­pol­i­tains de souche) était lui aus­si vic­time de racisme. Un quart même pour les paupérisés et pour les jeunes. Les enquê­teurs avaient pour­tant délibéré­ment restreint l’échantillon du « groupe majori­taire », très large­ment sous-représen­té par rap­port aux pop­u­la­tions d’origine étrangère ou ultra­ma­rine. Mais nonob­stant l’impossibilité théorique du racisme antiblanc, ils ont bien été oblig­és d’en con­céder la réal­ité sta­tis­tique. Pas longtemps, il est vrai. Car ils ont aus­sitôt affir­mé que ce « groupe majori­taire » abri­tait des pop­u­la­tions extra-européennes présentes en métro­pole depuis longtemps. Ouf ! La grille d’analyse reste intacte.

Un point mar­quant dans les témoignages que vous avez recueil­lis, c’est la sidéra­tion qui en a saisi cer­tains lorsque, pour la pre­mière fois, ils ont été con­frontés à des logiques de dis­crim­i­na­tion « qu’ils n’avaient jamais envis­agées ». Pensez-vous que par leur silence, jour­nal­istes et poli­tiques se ren­dent coupables de la mul­ti­pli­ca­tion de ces actes racistes antiblancs (insultes, agres­sions, etc.) ?

François Bous­quet : Jour­nal­istes, uni­ver­si­taires, poli­tiques, tous sont com­plices d’un déni et d’un délit de masse. Parce que ne pas recon­naître ce racisme, c’est le légitimer. Ne pas le nom­mer, c’est l’autoriser. Ne pas le sanc­tion­ner, c’est l’institutionnaliser. La loi française inter­dit explicite­ment tout racisme, y com­pris le racisme antiblanc, mais dans la plu­part des cas, cette inter­dic­tion reste let­tre morte. Tout cela finit par créer un racisme antiblanc d’atmosphère, comme une sorte de nor­mal­i­sa­tion ram­pante. C’est ce que les soci­o­logues de l’organisation appel­lent la « nor­mal­i­sa­tion de la déviance » : un proces­sus par lequel des écarts devi­en­nent pro­gres­sive­ment tolérés, puis admis, puis banals. Tout com­mence par des sig­naux faibles – une insulte antiblanche, un crachat, une bous­cu­lade à la can­tine, une remar­que dans les trans­ports – qui, parce qu’ils ne sont pas relevés, devi­en­nent des sig­naux rou­tiniers. Ce qui devait rester l’exception devient ain­si à terme la norme informelle.

Un exem­ple par­mi d’autres : le soir de la finale entre le PSG et l’Inter de Milan, des mil­liers de jeunes d’origine extra-européenne ont scan­dé en chœur, sur les Champs-Élysées, autour du Parc des Princes, dans le 8ᵉ arrondisse­ment et ailleurs : « Français, Français­es, on vous emmerde ! » Qui en a par­lé ? À ma con­nais­sance, per­son­ne. Qu’y a‑t-il, pour­tant, de plus explicite ? Voilà l’un des vis­ages de ce racisme antiblanc, aus­si mas­sif qu’occulté. Les jour­nal­istes n’en font qua­si­ment jamais état. Or, pen­dant ce temps, il prospère.

Pro­pos recueil­lis par Lorelei Bancharel

François Bous­quet, Le Racisme antiblanc, l’enquête inter­dite, 2025, La Nou­velle librairie édi­teur, 21€.

Red­if­fu­sion esti­vale. Pre­mière dif­fu­sion le 10 juil­let 2025. Chers lecteurs, notre rédac­tion prend une pause esti­vale. Du dimanche 27 juil­let au lun­di 25 août, nous vous pro­posons une sélec­tion des arti­cles et por­traits les plus mar­quants du pre­mier semestre.

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