Le sport, c’était la grande bataille d’Arnaud Lagardère pour prouver qu’il n’était pas seulement le fils de son père (Jean-Luc Lagardère décédé en 2003 d’une infection nosocomiale) mais aussi un entrepreneur. Une guerre perdue qui s’apparente à un désastre financier.
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Jean-Luc Lagardère
L’Observatoire prend des vacances d’hiver
Nous ne partons pas aux sports d’hiver, mais pendant une dizaine de jours, jusqu’au 3 janvier inclus, l’OJIM vous présentera les articles les plus significatifs des quatre derniers mois. Entre les censures de Radio France ou de Twitter, les délires LGBT+ ou indigénistes, les silences sur les faux mineurs migrants, les regards complaisants sur les clandestins, les vidéos interdites, la sortie de notre première brochure papier, la matière ne manque pas. Tout ceci a un coût, il vous reste 8 jours pour nous soutenir avec un reçu fiscal de 66% sur 2020, d’avance merci. Joyeux Noël à toutes et tous et à bientôt.
Lagardère médias, plus dure sera la chute
L’OJIM a consacré plusieurs articles au groupe Lagardère. La gestion fantaisiste d’Arnaud Lagardère finit par produire ses effets : la fin du pôle presse, l’oubli de la dispendieuse marotte du sport et du divertissement et l’affaiblissement lent de ce qui fut un grand groupe français.
Chaises musicales à Europe 1 devenu bateau ivre
Pour ceux qui ont connu les fastes de Salut les copains, Signé Furax et autres TOP 50 le nom d’Europe 1 veut dire beaucoup. Dès avant 1974, et encore plus sous l’impulsion à cette date de Jean-Luc Lagardère, véritable entrepreneur, la radio a connu son heure de gloire. Jean-Luc Lagardère disparu brusquement en 2003, le pôle médias de son empire a été repris par son fils unique Arnaud, dont l’envergure est assez différente.