Quand un « grand quotidien du soir » qualifie Bellingcat, une émanation des services britanniques, « d’ONG », le tout dans le contexte du conflit russo-ukrainien, que faut-il en penser ? Amateurisme ou complicité ? Nous laissons au lecteur le soin de tirer sa propre conclusion. Visite des lieux.
La première victime d’une guerre c’est la vérité. Nous avons publié une vidéo sur les 10 principes de la propagande de guerre. La lecture de quelques articles de Libération en illustre les points 5, L’ennemi commet des atrocités, et 6, L’ennemi utilise des armes non autorisées. Des articles directement inspirés (ou simplement recopiés) par Bellingcat , un site dit d’investigation… créature du soft power des services britanniques.
France Culture produit depuis quelques mois une nouvelle série de podcasts, intitulée “Mécaniques du journalisme”. La saison 6 qui vient de sortir, s’intéresse aux “empoisonneurs de Navalny” et plus précisément aux “journalistes d’investigation” (sic) de Bellingcat, à l’initiative des enquêtes autour de l’affaire Navalny.