L’activiste antifa grenoblois Taha Bouhafs, égale­ment act­if dans le nord de Paris et au sein du mou­ve­ment « indigéniste », se fait main­tenant pass­er pour jour­nal­iste afin d’être intouch­able. Celui qui est inter­venu – avec d’autres mil­i­tants d’extrême-gauche – pen­dant les vio­lences urbaines de Nantes cet été au jour et au lieu où des caméras ont été sciées au pied (il en avait d’ailleurs posté les pho­tos), tra­vaille main­tenant pour Là bas si j’y suis, et a cosigné le man­i­feste fon­da­teur du Nou­veau Média d’Aude Lancelin, virée du Média, le QG.