En 2007 sor­tait en librairie un essai écrit par la jour­nal­iste alter­mon­di­al­iste Nao­mi Klein, La stratégie du choc (Actes Sud, traduit en 2008). La thèse cen­trale de son ouvrage : les élites utilisent sou­vent des sit­u­a­tions extrêmes (cat­a­stro­phes naturelles, atten­tats) et la sidéra­tion de l’opinion publique pour « assur­er la prise de con­trôle de la planète par un ultra­l­ibéral­isme surpuissant ».