Une jeune poète afro-améri­caine prononçant un poème « engagé », poli­tique­ment cor­rect à souhait, le jour de l’investiture du nou­veau prési­dent des États-Unis Joe Biden : cela avait ému la planète des médias de grand-chemin, et en par­ti­c­uli­er Le Monde. Mais voilà qu’une européenne veut le traduire. Au scan­dale des milieux décolo­ni­aux hollandais.