Lors des man­i­fes­ta­tions des gilets jaunes, de nom­breux jour­nal­istes ont été hués voire agressés. Réac­tion com­préhen­si­ble devant le con­formisme d’une grande par­tie des médias à leur égard. Réac­tion à côté de la plaque égale­ment, les JRI (jour­nal­istes reporters Indépen­dants) et les cam­era­men sont les soutiers des médias, payés au lance pier­res, sou­vent exploités et n’ont stricte­ment aucune influ­ence sur ce qui est passé de leurs images à l’antenne. Étrange­ment, les agres­sions dont les antifas sont les auteurs sont passées tou­jours sous silence.