On a beau être très riche, on a beau avoir dans son dis­cret action­nar­i­at la famille Bet­ten­court, le groupe LVMH, le Dow Jones améri­cain, on a beau défendre les intérêts matériels et moraux du CAC40 et plus si affinités, le groupe L’Opinion/Agefi demande quand même 2M€ à ses lecteurs.