« La rel­a­tive neu­tral­ité de l’encyclopédie en ligne écrite par les inter­nautes doit beau­coup au tout petit noy­au de ses con­tribu­teurs les plus act­ifs, dom­inés par des hommes attirés par le savoir. », assur­ait encore le jour­nal Le Monde en jan­vi­er dernier.