La lib­erté de ton d’un édi­to­ri­al­iste fait par­tie de son ADN. Il n’informe pas, il com­mente l’actualité. Mais il peut arriv­er que le ton déplaise à la poli­tique édi­to­ri­ale du média, c’est ce qui vient d’arriver à L’Express d’Alain Weill.