Après le « Rus­si­a­gate », arrive donc le « Spy­gate », ou encore « Intel­gate ». Autrement dit un scan­dale en émer­gence sur une kyrielle d’abus de pou­voir poten­tiels d’une série de hauts et moyens fonc­tion­naires du Ren­seigne­ment, voire du pro­cureur Mueller lui-même, tous en appui sur les médias qui pen­dant deux ans ont ven­du aux mass­es l’idée selon laque­lle Trump était un traitre au ser­vice de Poutine.