C’est la morosité au Syn­di­cat du Livre, bras armé de la CGT – et his­torique­ment du Par­ti com­mu­niste – qui pen­dant longtemps a con­trôlé en par­tie la presse. Les imprimeries fer­ment, la presse décline, les sup­pres­sions de postes se mul­ti­plient, les français préfèrent lire sur inter­net, les troupes dimin­u­ent et la pro­pa­gande ne porte plus. Plutôt que d’en tir­er les con­séquences et de s’é­clipser – ou de ten­ter d’adapter son dis­cours aux nou­velles réal­ités, le syn­di­cat du Livre mul­ti­plie les blocages.