Il y avait Glenn Green­wald le jour­nal­iste améri­cain mau­dit, celui qui avait dif­fusé en 2013 les révéla­tions de Snow­den, avec l’appui des grands médias qui n’étaient pas encore tous de grand chemin, et qui ne fai­saient pas non plus couche com­mune avec les agences de ren­seigne­ment. Et il y a le nou­veau rebelle Green­wald, bête noire du mundil­lo libéral libertaire.