Ama­zon, Apple, Net­flix, Star­bucks, Microsoft, Sony, Wal­mart, que du lourd, tels sont les noms des sociétés soupçon­nées d’avoir prof­ité d’accords par­ti­c­uliers avec le réseau social de Mark Zucker­berg pour avoir accès à cer­taines infor­ma­tions con­fi­den­tielles de ses util­isa­teurs. Con­séquence ou coïn­ci­dence, la valse des respon­s­ables sem­ble s’accélérer au sein de la société californienne.