Les émeutes en France vues depuis la Hongrie et la Pologne

En 2017, le Pre­mier min­istre hon­grois Vik­tor Orbán déclarait : « Bien sûr, nous pou­vons accueil­lir les vrais réfugiés : Alle­mands, Néer­landais, Français, Ital­iens, […] chré­tiens qui auront dû fuir leur pays, ces per­son­nes qui veu­lent retrou­ver ici l’Eu­rope qu’elles ont per­due chez elles ».