Le cas roumain illus­tre la manière dont une foule savam­ment manip­ulée peut servir le cré­do sorossien.

Nous avons assez peu par­lé du Covid médi­a­tique, du vac­cin non moins médi­a­tique, etc., gar­dant une retenue sur des sujets pas­sion­nels où le meilleur et le pire pou­vaient se lire, se dire, se répéter au moment où ces sujets fai­saient la une de l’actualité.

En 1991, la dis­so­lu­tion de l’U­nion sovié­tique ouvrait, pour beau­coup d’ac­teurs de la scène géopoli­tique, de nou­velles per­spec­tives. Un moment de grâce pour George Soros.

Ain­si que l’OJIM l’annonçait le 13 mars 2023, la ver­sion 4 de Chat­G­PT a (déjà) été mise en œuvre par Ope­nAI. La métaphore d’un cheval lancé au galop n’était pas exagérée. Espérons qu’il ne s’agisse pas d’un cheval fou. Les rumeurs étaient nom­breuses sur les poten­tial­ités de cette nou­velle ver­sion. Qu’en est-il exactement ?

Après un pre­mier plan social en 2015 réduisant les effec­tifs de 20%, nous con­sta­tions fin 2017 que la sit­u­a­tion ne s’arrangeait pas. Un peu plus de cinq ans plus tard, la direc­tion annonce la pos­si­bil­ité d’un « scé­nario du pire ».

Le débat au Roy­aume-Uni sur la par­tial­ité de la BBC en faveur des idéolo­gies pro­gres­sistes n’est pas nou­veau. De même que la ques­tion de savoir si les citoyens déten­teurs d’un téléviseur acheté légale­ment avec leur pro­pre argent doivent être con­traints de pay­er une rede­vance de 159 £/an pour financer le dis­cours gauchisant des jour­nal­istes du groupe pub­lic de télévi­sion et de radio.