Le 24 février 2020 à Paris avait lieu dans une atmosphère bon enfant la 11ème remise des Bobards de l’année 2019, organisée par la Fondation Polémia.
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Yann Barthès
L’Observatoire prend des vacances d’hiver
Nous ne partons pas aux sports d’hiver, mais pendant une dizaine de jours, jusqu’au 3 janvier inclus, l’OJIM vous présentera les articles les plus significatifs des quatre derniers mois. Entre les censures de Radio France ou de Twitter, les délires LGBT+ ou indigénistes, les silences sur les faux mineurs migrants, les regards complaisants sur les clandestins, les vidéos interdites, la sortie de notre première brochure papier, la matière ne manque pas. Tout ceci a un coût, il vous reste 8 jours pour nous soutenir avec un reçu fiscal de 66% sur 2020, d’avance merci. Joyeux Noël à toutes et tous et à bientôt.
Retour sur l’affaire Mila et la presse
La tuerie de Charlie Hebdo n’a qu’un lustre et pourtant paraît relever d’une autre ère. L’affaire Mila – du nom de cette adolescente lynchée pour avoir raconté dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux son aversion pour l’islam, en des termes peu amènes – est venue le prouver sans appel. La façon dont la presse française a traité cette affaire, généralement avec des pincettes ou du bout des lèvres témoigne surtout de l’affaiblissement du courage. Apparemment, nous aimons bien la liberté d’expression, à condition qu’elle ne nous coûte pas trop cher.
Quotidien de Yann Barthès : la morgue
Nos donateurs récents ont reçu un dossier complet exclusif sur l’émission Quotidien de Yann Barthès. En point d’orgue de l’enquête de Valeurs Actuelles, nous en publions la première partie. Les deux autres sont pour le moment réservées à nos soutiens.
Quotidien de Yann Barthès : mensonges et dérision. Deuxième partie
L’émission Quotidien de Yann Barthès a déjà fait l’objet d’un article « La morgue » que vous trouverez ici. Nous publions la deuxième partie, « Le vide ». L’ensemble du dossier est réservé à nos donateurs. Une excellente occasion de nous soutenir avec un reçu fiscal de 66% de votre don, vous pouvez cliquer là.
Maïtena Biraben
PORTRAIT — Maïtena Biraben est une présentatrice et productrice de télévision franco-suisse née à Épinay-sur-Seine en 2 juillet 1967 d’un père photograveur d’origine basque et d’une mère au foyer. Elle a notamment été la présentatrice des « Maternelles » sur France 5 et anime actuellement « Le Supplément » sur Canal.
Martin Weill
PORTRAIT — À une époque où les médias en perte de vitesse ne jurent plus que par le jeunisme et l’infotainment, Martin Weill était une mascotte toute trouvée. Créature barthésienne adorée des journalistes pour son côté Tintin sympathique et décalé, il est, depuis 2013, le globe-trotteur attitré du « Petit Journal » de Canal+.
Quand Quotidien de Yann Barthès encourage le racisme anti-blanc
L’anti-racisme est le communisme du XXIème siècle a pour coutume de dire Alain Finkielkraut. Il y a parfois mieux, le racisme anti-blanc sous couvert d’anti-racisme tout court. C’est ainsi que l’écrivain américaine Neil Irvin Painter a pu le 7 février 2019 déverser son mépris des Blancs à l’antenne de l’émission Quotidien de Yann Barthès sur TF1.
Pacte sur les migrations, sur les chaînes de télévision et les radios, une obsession : débusquer les « idées fausses »
Sur TMC le 8 décembre 2018, Yann Barthès et un journaliste du « 20h Médias » opposent les sincères aux manipulateurs et manipulés. Les journalistes affirment ainsi que l’opposition au texte est « menée par l’extrême droite ». Heureusement, « les médias traditionnels tentent eux de démêler la rumeur, démêler le vrai du faux ». Le propos est appuyé par des images de journalistes de France 2 et de France Info. Le journaliste conclut que le texte « ne donne pas de nouveaux droits pour les migrants, pas de nouvelles obligations pour les États, pas de transfert de souveraineté pour les états signataires. Ça c’est l’analyse des médias, l’analyse factuelle des médias traditionnels qui ont décortiqué le texte. Mais on sait à quel point tous ces médias sérieux sont contestés ».
Le Monde publie des comptes un peu gris et Yann Barthès cache les siens
Le monde des médias ne comporte pas seulement des acteurs directs comme les sociétés de presse, les radios, les télévisions, les sociétés numériques mais aussi les sociétés de production qui les fournissent. Les fameuses « boîtes de prod », dont celle de Yann Barthès qui cache soigneusement ses bénéfices. Pour quelle raison ?