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Conseil de surveillance de Facebook, Soros et consanguinité

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12 août 2021

Temps de lecture : 2 minutes
Accueil | Veille médias | Conseil de surveillance de Facebook, Soros et consanguinité

Conseil de surveillance de Facebook, Soros et consanguinité

Temps de lecture : 2 minutes

Red­if­fu­sion esti­vale. Pre­mière dif­fu­sion le 20 octo­bre 2020

Nous avons déjà parlé du « conseil de surveillance mondial » de Facebook. Un passionnant article d’Antipresse sous la signature de Julien Di Gregorio cerne les profils de certains de ses membres, la plupart liés aux réseaux Soros.

FACEBOOK • Un conseil de surveillance chimiquement pur à 90%

« Nous venons de tous les hori­zons poli­tiques ! » Les coprési­dents du « nou­veau » con­seil de sur­veil­lance de Face­book sont fiers de la « diver­sité » de leur board. « Les mem­bres du con­seil d’administration sont issus de dif­férents milieux pro­fes­sion­nels, cul­turels et religieux et ont des points de vue poli­tiques var­iés », écrivaient-ils dans une tri­bune du New York Times le 6 mai 2020. Les médias de grand chemin ont repris ces auto­com­pli­ments en applaud­is­sant des qua­tre mandibules.

Or c’était un pur enfu­mage. À moins qu’on puisse qual­i­fi­er de diver­sité le fait que 10% (2 sur 20) mem­bres dudit con­seil n’ont apparem­ment rien à voir avec les organ­i­sa­tions de George Soros.

Une enquête menée par Sharyl Attkisson de Real­Clear­Pol­i­tics a mon­tré que 18 des 20 mem­bres du con­seil de sur­veil­lance de Face­book « ont col­laboré avec ou sont liés à des groupes » qui ont reçu un finance­ment des fon­da­tions Open Soci­ety de Soros.

Membres notables :

Helle Thorn­ing-Schmidt, ancien Pre­mier min­istre social­iste du Dane­mark, admin­is­tra­teur de l’International Cri­sis Group, financé par l’Open Soci­ety Foun­da­tions, où Soros et son fils Alexan­der sont mem­bres du con­seil d’administration.

Eve­lyn Aswad, pro­fesseur de droit améri­cain sub­ven­tion­né par une fon­da­tion de Soros. Aswad prône l’alignement des «codes de dis­cours sur le droit inter­na­tion­al des droits de l’homme» et sur «le droit inter­na­tion­al sur la lib­erté d’expression».

Jamal Greene, ancien assis­tant du séna­teur de Cal­i­fornie Kamala Har­ris et pro­fesseur de droit à l’université de Colum­bia, tous deux ont des liens avec la famille Soros et sa fon­da­tion. Le compte Twit­ter de Greene con­tient égale­ment plusieurs pub­li­ca­tions anti-Trump.

L’article de Sharyl Attkisson donne la liste com­plète des mem­bres du « board » de Face­book et de leur con­san­guinité intel­lectuelle ou pro­fes­sion­nelle avec la sorosphère.

Julien Di Gregorio

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