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Public Sénat regardée « par 10 ou 15 personnes » selon Marion Le Pen

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5 février 2015

Temps de lecture : 2 minutes
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Public Sénat regardée « par 10 ou 15 personnes » selon Marion Le Pen

Temps de lecture : 2 minutes

Interrogée mardi matin par Jean-Jacques Bourdin sur son altercation avec Gilles Leclerc, patron de Public Sénat, Marion Maréchal-Le Pen est revenue sur la légitimité du personnage.

Lors de la remise du prix de l’« élu local de l’an­née » à Steeve Briois par le Trom­binoscope, le patron de la chaîne par­lemen­taire s’é­tait mon­tré très pru­dent dans ses déc­la­ra­tions, trop pru­dent aux yeux des élus FN présents ce jour-là. Après la céré­monie, la jeune député du Vau­cluse était aller voir M. Leclerc pour lui sig­ni­fi­er : « Mais on va vous avoir ! Mais quand ça va arriv­er ça va vrai­ment vous faire mal ! »

Des images cap­turées par Canal+ et qui avaient fait le tour du web. Devant la polémique, Mar­i­on Le Pen a exprimé ses regrets sur BFMTV, sans omet­tre de gliss­er un petit tacle à Pub­lic Sénat. « C’est impor­tant que dans une société où l’on s’indigne de tout en per­ma­nence on ne s’indigne pas de l’essen­tiel », a‑t-elle com­men­té avant de pour­suiv­re : « Parce que ce qui aurait dû indign­er les jour­nal­istes sur ce sujet-là (…) c’est quand même que Gilles Leclerc qui est patron d’une chaîne publique, Pub­lic Sénat, payée par nos impôts et regardée par 10 per­son­nes, peut-être 15, qui se per­met de traiter de la sorte (Steeve Briois). »

Dans un com­mu­niqué, Gilles Leclerc a rap­pelé que la chaîne par­lemen­taire était regardée par « 23,6 mil­lions de téléspec­ta­teurs », assur­ant qu’il ne souhaitait pas polémi­quer davantage.