Ojim.fr
Veille médias
Dossiers
Portraits
Infographies
Vidéos
Faire un don
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
Médias : Lanvin « emmerde ces connards de journalistes »

L’article que vous allez lire est gratuit. Mais il a un coût. Un article revient à 50 €, un portrait à 100 €, un dossier à 400 €. Notre indépendance repose sur vos dons. Après déduction fiscale un don de 100 € revient à 34 €. Merci de votre soutien, sans lui nous disparaîtrions.

31 janvier 2013

Temps de lecture : < 1 minute
Accueil | Veille médias | Médias : Lanvin « emmerde ces connards de journalistes »

Médias : Lanvin « emmerde ces connards de journalistes »

Temps de lecture : < 1 minute

Invité sur le canapé rouge de Michel Drucker ce dimanche 27 janvier, Gérard Lanvin a poussé un coup de gueule contre les journalistes qui l’avaient attaqué lors de son interprétation de Charlie Bauer, compagnon de route de Jacques Mesrine.

L’acteur s’est emporté con­tre « tous les crétins qui l’ont accusé d’être ridicule avec cet accent ». Et de pour­suiv­re : « j’emmerde ces con­nards de jour­nal­istes qui s’a­musent à nous chi­er dessus ! » Se défen­dant d’avoir reçu les félic­i­ta­tions de Bauer pour son inter­pré­ta­tion, Gérard Lan­vin a fini sa presta­tion en adres­sant un doigt d’honneur à la caméra.

Âgé de 62 ans, le comé­di­en est cou­tu­mi­er des coups de gueule. Dans le seul courant du mois de jan­vi­er, en pro­mo pour son film « Ami­tiés sincères », il s’en est pris vio­lem­ment au « déla­teur » Philippe Tor­re­ton qui avait signé une tri­bune dans Lib­er­a­tion met­tant en cause Gérard Depar­dieu, à l’impôt de 75% sur les très hauts revenus, à Jean-Luc Mélen­chon, au chef de l’État, à Najat Val­laud-Belka­cem qu’il ne « peut plus voir », mais aus­si à Jean-François Copé et à François Fil­lon… En forme, Gérard !