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Les revues de la CGT à la peine

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28 septembre 2013

Temps de lecture : < 1 minute
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Les revues de la CGT à la peine

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La Nouvelle société anonyme La Vie ouvrière, qui appartient à la CGT et édite La Nouvelle vie ouvrière, Ensemble et Le Peuple a enregistré en 2012 un résultat négatif de 650 000 euros pour un chiffre d’affaires de 7,5 millions d’euros. Le syndicat compte désormais sur une souscription organisée dans les fédérations pour éponger cette perte.

Revue phare de la CGT, La Nou­velle vie ouvrière a été fondée en 1909 par le mil­i­tant syn­di­cal­iste révo­lu­tion­naire Pierre Monat­te (1881–1960), proche un temps de Fer­nand Pell­outi­er et du mou­ve­ment anar­chiste français duquel il s’est éloigné au moment de la créa­tion de la revue. Il rejoint le PCF en 1923 avant d’en être exclu un an plus tard et fonde alors la Révo­lu­tion pro­lé­tari­enne, revue qui existe tou­jours.

Crédit pho­to : cap­ture d’écran cou­ver­ture La Révo­lu­tion prolétarienne