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Le Press Club de France décerne ses prix de l’humour politique

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3 octobre 2014

Temps de lecture : 2 minutes
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Le Press Club de France décerne ses prix de l’humour politique

Temps de lecture : 2 minutes

Chaque année le Press Club épingle les meilleures déclarations d’humour involontaire des politiques.

Alain Jup­pé a gag­né le Grand Prix avec « En poli­tique on n’est jamais fini, regardez-moi » suivi de deux prix spé­ci­aux pour Hervé Morin « Au cen­tre, on n’est pas chargé d’être la roue de sec­ours du Titan­ic » et pour Arnaud Mon­te­bourg « Je crois à un retour de Nico­las Sarkozy ; mais menot­té ».

Michel Sapin n’a pas été oublié avec un prix d’encouragement pour son « Quand on ne va pas assez loin, c’est déjà qu’on va quelque part ». Nadine Mora­no gagne le prix de la PQR pour son mémorable « On a une recrude­s­cence de vio­lence… Par exem­ple, le vol des porta­bles à l’ar­raché. Ça n’ex­is­tait pas avant que les porta­bles exis­tent ».

Le mémorable et éphémère secré­taire d’État atteint de pho­bie admin­is­tra­tive, Thomas Théve­noud, gagne un Prix-Noc­chio pour « Je ne suis pas un fraudeur, je suis un con­tribuable nég­li­gent ».

Mais le vain­queur incon­testable est notre Prési­dent nor­mal pour une phrase qui pour­rait fig­ur­er dans un recueil d’Alphonse Allais : « Quand ça va bien, on devrait se rap­pel­er que ça ne va pas dur­er. Et quand ça va mal, on peut penser que cela pour­rait aller plus mal ou que ça ne va pas dur­er ».

Crédit pho­to : par­ti­so­cial­iste via Flickr (cc)