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La crise du marché publicitaire se poursuit

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13 mai 2013

Temps de lecture : 2 minutes
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La crise du marché publicitaire se poursuit

Temps de lecture : 2 minutes

Le marché publicitaire s’est effondré de 10 % au premier trimestre 2013. Les secteurs les plus touchés sont la télévision et la presse écrite ; la radio et internet s’en tirent plutôt bien.

Cette chute de 10 % a con­traint ZenithOp­ti­me­dia, agence média de Pub­li­cis, à revoir ses prévi­sions à la baisse : — 4 % pour 2013, au lieu de — 3 % précédem­ment. « Tra­di­tion­nelle­ment, le début de l’an­née est dif­fi­cile » a souligné Dominique Del­port, prési­dent de Havas Media France, mais « tout le monde attend un rebond au deux­ième semestre ».

La presse écrite a été par­ti­c­ulière­ment affec­tée avec une baisse de 4,7 % de ses recettes pub­lic­i­taires sur les 4 pre­miers mois de l’année, selon l’in­sti­tut Kan­tar Media. La télévi­sion, égale­ment, a été lour­de­ment touchée comme on a pu le voir avec TF1 qui a accusé une perte con­solidée de 4,5 % au pre­mier trimestre (ren­voy­er à mon précé­dent arti­cle sur le sujet). Cepen­dant, les nou­velles chaînes TNT « con­stituent une bonne affaire pour les annon­ceurs à un coût qui reste très compétitif. »

C’est la radio qui s’en tire le mieux car, tou­jours selon Del­port, « c’est un média que les annon­ceurs aiment bien par sa sim­plic­ité et sa réac­tiv­ité ». Aus­si, le marché pub­lic­i­taire de la vidéo en ligne est « est en plein essor » bien qu’il « manque encore de matu­rité » d’après Philippe Nouchi, directeur de l’ex­per­tise média de Viva­ki.

Pho­to : DR geeksandcom.com