Ojim.fr
Veille médias
Dossiers
Portraits
Infographies
Vidéos
Faire un don
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
Christine Ockrent réclame 650.000 euros

L’article que vous allez lire est gratuit. Mais il a un coût. Un article revient à 50 €, un portrait à 100 €, un dossier à 400 €. Notre indépendance repose sur vos dons. Après déduction fiscale un don de 100 € revient à 34 €. Merci de votre soutien, sans lui nous disparaîtrions.

18 octobre 2012

Temps de lecture : < 1 minute
Accueil | Veille médias | Christine Ockrent réclame 650.000 euros

Christine Ockrent réclame 650.000 euros

Temps de lecture : < 1 minute

Déjà sévère­ment épinglée par Airy Routi­er le 14 févri­er 2011 dans le défunt France-Soir pour un salaire de numéro deux de l’Au­dio­vi­suel extérieur français (AEF) s’élevant à 750.000 € annuels, Chris­tine Ock­rent refait par­ler d’elle en récla­mant à cette société, financée sur fonds publics, des indem­nités de départ à hau­teur de 650.000 €.

« Ce départ négo­cié, s’il avait finale­ment lieu, serait d’au­tant plus éton­nant que Chris­tine Ock­rent, au titre de man­dataire sociale, est révo­ca­ble sans indem­nités. A moins que son con­trat ait prévu un para­chute doré », écrivait à l’époque Airy Routier.

Camille Pas­cal, ancien con­seiller de Nico­las Sarkozy à l’Élysée, con­firme dans son livre Scènes de la vie quo­ti­di­enne à l’Élysée, que Chris­tine Ock­rent n’a perçu aucune indem­nité de départ, l’ancien locataire de l’Elysée ne souhai­tant pas que l’on puisse dire que cette évic­tion coûterait au contribuable.

La somme de 650.000 € serait pour­tant pro­vi­sion­née par l’AEF, au cas où le tri­bunal de com­merce don­nerait rai­son à l’an­ci­enne jour­nal­iste. Dans ce cas, c’est donc bien le con­tribuable qui met­trait la main à la poche.

Pho­to : Olivi­er Ezrat­ty via Wikimé­dia (cc)