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Bobards 2017, Yann Barthès et Guillaume Auda, un bon cru

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8 février 2017

Temps de lecture : 2 minutes
Accueil | Veille médias | Bobards 2017, Yann Barthès et Guillaume Auda, un bon cru

Bobards 2017, Yann Barthès et Guillaume Auda, un bon cru

Temps de lecture : 2 minutes

La huitième édition des Bobards d’or une cérémonie parodique où la Fondation Polemia remet chaque année des récompenses aux « meilleurs menteurs » s’est tenue à Paris le 6 février 2017.

Une vidéo retraçait – entre autres – un flo­rilège des « ani­ma­teurs » et « humoristes » de France Inter. Un con­den­sé où mépris de la France d’en bas (la sous-France de Guily) , grossièreté et entre soi con­fit dans le doux cocon du ser­vice pub­lic (mer­ci la rede­vance) voisi­naient avec le déli­cat sen­ti­ment de l’impunité de celui (ou celle) qui est du côté du manche. Forts avec les faibles, faibles avec les forts, de quoi réus­sir à France Inter.

Si des bobards estimables comme celui sur « la théorie du genre qui n’existe pas » ont ren­con­tré un cer­tain suc­cès, c’est un récidi­viste Yan Barthes encore dans ses œuvres à Canal Plus qui a reçu avec son com­plice Hugo Clé­ment le Bobard suprême pour une série de reportages bisounours sur le « vivre ensem­ble à Moleen­bek. »

Mais Guil­laume Auda sur i>Télé n’a pas démérité pour ses tweets sur la cam­pagne de Trump où il voy­ait – entre autres – des par­ti­sans du KKK tout vêtus de blanc venus soutenir le can­di­dat répub­li­cain alors qu’il s’agissait d’afro-américains déguisés venus pro­test­er con­tre Trump. Il est vrai que le pau­vre Auda n’a fait que suiv­re la plu­part de ses con­frères améri­cains comme européens…